2022 : Choguel Kokalla Maïga, l’homme de l’année !
De sa constance au sein du M5-RFP à sa résistance face aux multiples attaques des hommes en passant par la lutte implacable menée contre la France, la mise en place d’une politique de résistance contre les sanctions de la Cedeao, la résistance contre la sévère pathologie, le Premier ministre Choguel Kokalla Maïga est logiquement l’homme de l’année 2022. Devenu le poumon politique de la Transition, il est incontestablement celui qui a été au cœur du débat pendant les cinq (5) ou sept (7) derniers mois de l’année 2022.
Dans le cadre de la rectification de la trajectoire de la transition, Dr. Choguel K. Kokalla Maïga a été nommé à la tête du Gouvernement par le colonel-président de la Transition, Assimi Goïta, le 7 juin 2022. Depuis lors, le processus de la Refondation du Mali a été enclenché avec brio dans tous les domaines. Fin stratège, le Premier ministre Choguel Kokalla Maïga, sous l’impulsion du colonel Président, est devenu incontestablement le poumon politique de la Transition. Son duo avec Assimi Goïta est parfait et envié par des milliers de Maliens. Il mène le combat de la restauration de la dignité et de l’honneur du Mali. En plein combat, les armes à la main dans son bureau, Choguel a été victime d’une méchante pathologie qui l’a envoyé en clinique pour quelques mois…Dans son lit d’hôpital, l’homme occupait presque toutes les pensées de ses admirateurs et comme de ses détracteurs.
Ils l’ont donné pour mort. Ils l’ont enterré. Ils ont tourné sa page. Malheureusement pour eux, l’homme de l’année 2022 refuse de mourir. Déjouant leur pronostic, il revient à son poste et reprend le combat pour le salut de la patrie, grâce à l’opiniâtreté d’une vingtaine de praticiens de la santé, des scientifiques de très haut niveau. Sans doute béni par Dieu, leur grand patient était porté par la baraka. Son retour sonne comme un réveil brutal pour la Françafrique et ses réseaux. Au Mali, sur fonds de mensonges éhontés et en continuant dans la même infamie, ils spéculent, ils errent, ils mentent, se tortillent de douleur, la résurrection de Choguel les a laissés sans mot.
Alors, le délire leur fait dire des choses qui sortent des profondeurs d’âmes déçues et sans espoir. Le Mali est en marche et n’oubliera jamais ceux qui l’ont précipité dans l’abîme. Ils croient pouvoir distraire la Transition, la tromper en changeant de facettes. Cette gouvernance se fait avec des outils nouveaux, décomplexés, avec une méthodologie convergente dans le respect dû à chacun. Ils auraient souhaité que Choguel ne rende pas visite à Diaw. Cette photo main dans la main a fini par les détruire au plus profond de leur âme défaillante. Ils construisaient leur prétendue division sur une supposée rivalité Choguel-Diaw. Désespérés et traumatisés, ils activent les injures, fabriquent des textes qu’ils donnent à des prête-noms sur Facebook et autres. Toute la stratégie de la lâcheté et de la couardise. On se connaît dans ce pays. On sait qui est derrière qui. On sait qui active qui et qui désactive qui.
Un homme invincible?
Très constant et très pragmatique avec un sens aigu de responsabilité, Choguel devrait être un cas d’école pour les hommes politiques. Fin stratège, surdoué et doté d’une capacité d’analyse extraordinaire, Choguel Kokalla Maïga est un homme politique constant, qui a assumé, contre vents et marées, ses convictions depuis trois décennies. Cohérence, dignité et droiture…telles sont les caractéristiques du ‘’ Choguelisme’’ (une doctrine qui doit être réellement enseignée dans les écoles pour les jeunes générations) ; lesquelles différencient l’actuel Premier Choguel, le poumon politique de la Transition, et la plupart des piètres politiques maliens qui changent de veste selon les circonstances et selon leur tube digestif. Seul contre tous, Choguel qui est la mauvaise conscience de certains démocrates est devenu une pilule très amère coincée dans leur gorge. Ils ne cessent désespérément de réclamer sa démission.
Si Choguel était un homme qu’on pouvait abattre, les régimes dits démocratiques ont tenté depuis près de 40 ans sans succès. Ce n’est donc pas des rejetons et des balles perdues d’une mafia agonisante et fuyarde qui pourront faire autrement. Choguel n’a même pas besoin d’un poste pour vous faire mal. Il vous a mis à genoux étant dans son salon. La valeur intrinsèque de l’homme lui suffit. Il n’a pas son pareil dans toute l’opposition à la Transition. C’est un Maître qui a été premier partout où il est passé, reconnu au Mali comme en dehors du pays. Dites donc à votre Macron que Choguel est son Waterloo. Il ne peut rien et tout ce que vous ferez ne fait que le renforcer. C’est vous qui ne pouvez vivre sans la politique, sans un poste et ça se voit. La Rectification est en marche et elle marchera sur les valets de la France. Le meneur Choguel est un patriote, on ne peut pas le lui nier. C’est un battant qui ne ménage pas son temps et qui se soucie peu de repos tant qu’il s’agit de servir le Mali. Sauf de mauvaise foi, personne ne peut nier cela. Le Président Assimi Goïta, qui a côtoyé la mort sur de nombreux théâtres d’opération, connaît le niveau de l’engagement patriotique de son chef de gouvernement. S’il avait le moindre doute sur ses capacités physiques, psychiques et morales, il ne l’aurait pas ramené à la tête du gouvernement. Trêve de discours de mégères inguérissables, place à l’avenir. Il importe pour cet avenir de voir les activités et les agissements. Dr. Choguel est revenu à son poste et il aura à faire face à des centaines de tonneaux des Danaïbes, comprenons.
En somme, le Premier ministre de la transition est l’homme de l’année 2022 pour avoir été au centre des grandes décisions, mais aussi pour avoir souvent suscité des grands tollés. Doté d’une capacité de réflexion extraordinaire, il demeure le Premier ministre idéal pour parachever l’œuvre de changement entamée.
La Rédaction