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Jour : 09/03/2023

MEDIAS 

Le Président du HCI, Haidara depuis Paris : ” J’exprime mon soutien total au projet de constitution”

09/03/202309/03/2023 fasomali Aucun commentaire

Mission réussie. C’est du moins ce que nous pouvons dire suite à notre article du mercredi qui revelait la présence

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MEDIAS POINT DE VUE 

Laïcité : Amadou Koufa, sanguinaire solidaire de LIMAMA

09/03/202309/03/2023 fasomali Aucun commentaire

Un des lieutenants du sanguinaire terroriste Amadou Koufa a encouragé la Ligue des imams appelée LIMAMA à s’opposer à la

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MEDIAS 

Projet de nouvelle constitution au Mali : L’UNTM affirme son adhésion et demande à soutenir les initiatives de rénovation politique, démocratique, Economique et sociale

09/03/202309/03/2023 fasomali Aucun commentaire

Dans un communiqué publié, le lundi 6 mars 2023, l’Union Nationale des Travailleurs du Mali (UNTM) donne son quitus au

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MEDIAS 

Journée international de la femme : 29e édition sous le signe de la paix et de réconciliation

09/03/202309/03/2023 fasomali Aucun commentaire

A l’instar des autres pays du monde, le Mali a commémoré,  le mercredi 8 mars 2023, la journée internationale de

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MEDIAS 

Droits de l’homme : Comment Paris veut déconstruire la charte de Kouroukanfouga

09/03/202309/03/2023 fasomali Aucun commentaire

On a vu Emmanuel Macron, le président français, affirmer plusieurs fois que l’armée malienne est en train de commettre des

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MEDIAS 

Accord d’Alger : les raisons d’une visite des membres du CPS-PSD en Algérie

09/03/202310/03/2023 fasomali Aucun commentaire

Dans un communiquer rendu public, le lundi 06 mars 2023, le Cadre stratégique permanant pour la paix, la sécurité et

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MEDIAS Santé 

Coopération sino-malienne : l’hôpital du Mali reçoit un important lot de matériels et équipements

09/03/202308/03/2023 fasomali Aucun commentaire

L’hôpital du Mali a, à travers le ministre de la Santé et du Développement social, madame Diéminatou Sangaré, réceptionné un

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ECO & FINANCE MONDE 

PDAC 2023 : Le ministre Lamine Seydou TRAORE présente les potentialités du Mali en matière des ressources minérales

09/03/202308/03/2023 fasomali Aucun commentaire

Le ministre des Mines, de l’Energie et de l’Eau, M. Lamine Seydou TRAORE, a présenté les potentialités du Mali à

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MEDIAS 

Rôles et responsabilités des professionnels de médias en période de crise : L’ONG-PIEAPCD et la Minusma outillent une cinquantaine de journalistes

09/03/202308/03/2023 fasomali Aucun commentaire

En partenariat avec la Minusma, la Plateforme d’initiatives, d’expertise en éducation et d’appui à la promotion des Collectivités décentralisées (ONG-PIEAPCD)

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25/10 15:30 DIPLOMATIE : M. Hamidou Boly (représentant spécial de la CEDEAO) déclaré « persona non grata » par le gouvernement du Mali . Il a 72h pour quitter le sol malien.
https://youtu.be/V7dZc0ioB7w

EDITORIAL

Edito : Frappe chirurgicale du Mali à l’ONU
Editorial 

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08/03/202307/03/2023 ledemocratre Mali 0

Qui l’aurait cru ? Enclenchée par le duo Assimi-Choguel, la déconstruction coloniale complète et définitive continue lentement mais sûrement. Dans

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Edito : SOS pour le « Pays dogon »
Editorial 

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01/03/202328/02/2023 ledemocratre Mali 0
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23/03/202322/03/2023 fasomali 0

Au Mali, le projet de nouvelle constitution fait en encore débat. C’est d’ailleurs l’autre raison qui justifie le Legé report

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Une démocratie à la gâchette facile
POINT DE VUE 

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17/03/2023 fasomali 1
Projet de nouvelle constitution : Me Ibrahima N’Diaye invite les détracteurs à sortir des débats et faire campagne selon leur propre lecture du document
MEDIAS POINT DE VUE POLITIQUE 

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16/03/202316/03/2023 fasomali 0

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MEDIAS
Manque de fiabilité des contrôles de Mali technic system (MTS) : La vétusté et le défaut d’entretien des machines mise en causeManque de fiabilité des contrôles de Mali technic system (MTS) : La vétusté et le défaut d’entretien des machines mise en cause
23/03/2023MEDIAS / SOCIETELa question du contrôle technique qui relève aujourd’hui qu’une question de sécurité nationale, car elle implique la vie de plus 22 millions de Maliens. Pourtant, malgré les nombreuses alertes sur la qualité des services offerts par la seule société familiale, Mali technic system (MTS), habilitée à faire le contrôle technique des véhicules, le gouvernement reste sourd. Précisons que depuis 1996, la visite technique est gérée par une seule famille, Mali technic system (MTS), qui décide du sort de plus de 22 millions de Maliens en matière de sécurité routière. A cet effet, selon de sources bien introduites, compte tenu de la difficulté d’employabilité des jeunes diplômés au Mali, cette famille règne la tyrannie a ses employés à travers la mauvaise gestion et la sous rémunération salariale des travailleurs. D’ailleurs c’est ce qui explique le conflit permanent qui existe syndicat et la gérance qui veut coute que coute se débarrasser des anciens travailleurs pour pouvoir maitriser les nouveaux. A en croire nos sources, les travailleurs sont traités de tout, souvent blâmer par rapport aux résultats du contrôle alors que les machines ne sont plus capables de donner des résultats fiables compte tenu de leur état vétuste. C’est pourquoi, nous confie une source, ils sont toujours soit à l’inspection de travail, soit au tribunal de travail donc soumis à véritable harcèlement judiciaire. Et d’ajouter que compte tenu de cette situation latent la direction générale des transports avait demandé à la gérance du contrôle technique de faire un état des lieux qui semble-t-il n’a pas été fait car le rapport n’a jamais été publié. En réponse à la question relative au manque de fiabilité des contrôles, nos sources sont formelles : « Les quatre lignes de Sogoniko qui datent de 2007 fonctionnent aujourd’hui avec des pièces de fabrication locale. Donc il est impossible d’avoir des résultats fiables. Dans tout le district de Bamako il n’y a qu’une seule machine pour effectuer le contrôle technique des poids lourds ». Elles ajouteront que les cinq autres centres (Segou, Sikasso, Mopti, Kayes, Kanadjiguila) ne sont pas à jours en matière d’étalonnage. Donc là aussi c’est impossible d’avoir des mesures fiables sans cette mise à jour. Et de poursuivre il existe une sorte d’arnaque des usagers sur la sécurité routière. A cet effet, les autorités de la transition sont désormais interpelées pour apporter un changement radical dans ce secteur qui ne fait que tuer les paisibles citoyens chaque jour de plus. Car, améliorer ce secteur c’est améliorer la sécurité routière. Mama PAGA Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
Restitution du projet de constitution : une si belle leçon de démocratie !Restitution du projet de constitution : une si belle leçon de démocratie !
23/03/2023MEDIAS / POLITIQUELes autorités et légitimités traditionnelles, ensuite les forces vives de la nation, ont été reçus, le 20 mars 2023, dans la salle des banquets du palais de Koulouba, par le président de la transition. À chacune de ces couches, le projet de Constitution de la République du Mali a été restitué dans ses grandes lignes. Preuve que le report du référendum n’est nullement l’« abandon tactique d’un projet controversé ». Le président de la transition ne cesse de prendre ses adversaires en contre-pied. En effet, nombreux sont les oiseaux de mauvais augures qui avaient commencé à distiller des messages faisant croire « l’abandon tactique » du projet de constitution par le chef de l’État, à l’instar de ses devanciers. Un abandon qu’ils expliquaient comme dû aux controverses qui entouraient ce projet. Mais ce que ces adversaires semblent oublier, c’est que le chef de l’État reste convaincu que dans tout changement, il y aura des récalcitrants. Des nihilistes qui trouveront toujours dans des projets proposés par les autres des aspects qu’ils jugeront mauvais. « Guéré kura bô tè ta ka wôyô kô », dit un proverbe bambara pour dire que tout changement entraîne des remous. Cette sagesse populaire semble être bien comprise par le colonel Goïta. Depuis son arrivée au pouvoir, l’ambition du président de la transition et de toute son équipe est de n’abandonner personne sur le quai, mais d’embarquer tous les Maliens. La construction du Mali Kura ne se fera en absence d’aucun Malien. Pour réussir à poser le soubassement des différents projets de refondation, il semble animé par cette pensée généralement attribuée à Voltaire : « Je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire ». L’inclusivité, le consensus autour des différents projets, sont la prunelle des yeux du président Assimi Goïta, qui, malgré toutes les critiques de ses adversaires, ne manque jamais du courage de les inviter et de leur donner des explications sur ses intentions et en même temps de les écouter exprimer leurs craintes. Prendre en compte les aspirations profondes et les préoccupations des Maliens afin que chacun se reconnaisse dans le projet de Constitution, attendu très prochainement au référendum, tel est l’objectif des autorités maliennes. Dans cette dynamique, la restitution des différentes étapes du processus est devenue une coutume depuis le début de l’élaboration de ce projet ambitieux. En effet, la commission de rédaction de la nouvelle Constitution (CRNC) avait restitué l’avant-projet de Constitution aux Maliens en vue de recueillir leurs observations. Pour plus d’inclusivité et de consensus, le président de la transition avait mis en place une Commission de finalisation du projet de Constitution. Cette mouture finale vient à son tour d’être restituée aux Maliens. Tout le processus de cette phase a donc été inclusif. Devant les forces vives de la nation, le président Goïta a précisé que l’objectif d’une telle démarche inclusive était « de parvenir à un large consensus national autour de ce document ». Selon ses précisions, « le projet de Constitution est le fruit de larges discussions au cours desquelles les membres de la commission se sont exprimés en toute liberté et ont tenu compte des préoccupations majeures exprimées par les Maliennes et les Maliens ». À travers de telles séances de restitution, les autorités maliennes ont montré, une fois de plus, la voie du changement, de la rupture dans la gouvernance. D’une politique unilatérale où seul comptait le choix du chef de l’État, pris pour celui de l’opinion publique, on en est arrivé à une politique où seul compte désormais le choix du peuple dans les prises de décision. Tout se décide selon les intérêts ou les motivations du peuple. Si le projet de rédaction d’une nouvelle Constitution a été initié, c’est parce que le peuple malien l’a souhaité et exprimé lors des Assises nationales de la refondation (anr). La validation dudit projet revient aussi en dernier ressort à ce peuple qui doit lui donner son approbation ou désapprobation lors du référendum constitutionnel qui se tiendra très bientôt, après un « léger report ». L’objectif de ce projet est de doter le Mali d’Institutions fortes susceptibles de mettre le pays sur la voie d’une véritable croissance et à l’abri de toute crise sociale pouvant ébranler les fondements du Mali Koura. Car comme on le dit généralement, il n’y a point de démocratie, sans des institutions fortes. Les autorités maliennes ambitionnent donc de doter le Mali d’Institutions démocratiques fortes afin d’éviter aux Maliens un cycle interminable de crises, pouvant mettre à rude épreuve le vivre-ensemble et donc la cohésion sociale. Des crises qui ont conduit à des tentatives infructueuses de révision de la constitution de 1992. Le président de la transition reste convaincu qu’une fois adopté, ce projet de Constitution donnera au Mali toute sa souveraineté. Il rassure qu’il fera rayonner le pays et fera de lui un modèle dans la sous-région voire dans toute l’Afrique. À travers ces séances de restitution, le chef de l’État engage ainsi chaque Malien à s’approprier de ce projet qui a été déjà traduit dans toutes les langues nationales du pays en vue de le rendre plus accessible à chaque Malien. Des versions audio sont également prévues. Le chef de l’État exhorte à « travailler ensemble pour que le peuple malien, en toute connaissance de cause, s’approprie le projet de Constitution et l’adopte à une large majorité ». Rappelons que d’ores et déjà, pour la sécurisation des échéances électorales, des dispositions vigoureuses sont déjà prises pour leur bonne tenue sur toute l’étendue du territoire national. Correspondance particulière Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
Dialogue Interculturel et Interreligieux : Des échanges pour une meilleure stratégie de paix durable au SahelDialogue Interculturel et Interreligieux : Des échanges pour une meilleure stratégie de paix durable au Sahel
23/03/2023MEDIASUn séminaire de haut niveau s’est tenu, le mardi 21 mars dernier, à l’école de maintien de la paix Alioune Blondin BEYE de Bamako. Au menu, les stratégies pour une paix durable au Sahel. La cérémonie d’ouverture était présidée par le ministre de la Réconciliation nationale, de la paix et la cohésion sociale, chargé de la mise en œuvre de l’Accord pour la Paix et la Réconciliation issu du processus d’Alger, Colonel Ismaël Wagué. Placé sous le thème : « Dialogue Interculturel Et Interreligieux : Quelles Stratégies Pour Une Paix Durable Au Sahel ? », ce séminaire a enregistré la participation de plusieurs hautes personnalités dont le ministre de l’Artisanat, de la Culture, de l’Industrie Hôtelière et du tourisme, Andogoly GUINDO, celui des Affaires religieuses et du Culte et des Coutumes, Mahamadou Koné des représentants des missions diplomatiques accréditées au Mali, des acteurs de la paix venus des pays voisins… Ainsi, Ce colloque avait pour objectif d’approfondir les réflexions sur les mécanismes du dialogue interculturel et interreligieux afin de trouver des solutions pour une paix durable au Sahel en encourageant la cohabitation fraternelle, l’éducation, la justice, l’inclusion, la tolérance et le vivre ensemble harmonieux. D’entrée de jeu, le ministre Ismaël Wagué s’est dit honoré de présider la cérémonie d’ouverture de ce séminaire crucial pour la paix et la cohésion nationale. Cet événement, rappelle-t-il, revêt une importance capitale tant dans la forme que dans le fond. Les participants estiment que cette situation résulte de l’intolérance et la déformation des textes sacrés à des fins « ignobles » et « malsaines ». Elle est également marqué, selon certains, par l’abandon des valeurs sociétales, de vivre ensemble et de cohésion sociale. Dans son allocution, le ministre Wagué a aussi souligné que cette rencontre est un cadre de recherche des solutions pour endiguer le phénomène. « Nous sommes ici à la recherche de solutions pour la paix dans le Sahel, afin de défendre et promouvoir les valeurs morales, la justice sociale, la liberté et la paix. Nous aurons, non seulement, à continuer ces dialogues avec sincérité, mais aussi à considérer comme notre devoir d’enseigner et d’instruire nos peuples sur notre histoire commune ». Donc, ce séminaire offre, selon les organisateurs, une opportunité unique de réunir les différentes parties prenantes pour une réflexion constructive sur les défis liés au dialogue interculturel et interreligieux dans la région du Sahel. La recherche de solutions concrètes pour une paix durable est plus que jamais nécessaire, selon les initiatives, pour faire face aux défis actuels et futurs. Notons que ce séminaire de haut niveau sur le « Dialogue Interculturel Et Interreligieux » prendra fin aujourd’hui, jeudi 23 mars. Ibrahim Djitteye Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
Préservation des acquis de la transition : le collectif pour la défense de la souveraineté retrouvée sur les fonts baptismauxPréservation des acquis de la transition : le collectif pour la défense de la souveraineté retrouvée sur les fonts baptismaux
23/03/2023MEDIASAu nombre de plus d’une dizaine d’associations et de regroupements, des leaders jeunes ont procédé, le mardi 21 mars dernier au sein de la Bourse du Travail, au lancement du collectif pour la défense de la souveraineté retrouvée du Mali. C’était sous l’égide de Boubou Mabel Diawara, porte-parole du mouvement, en compagnie d’Abdoulaye Fofana dit 120, président de l’AIP, Ibrahim Maïga, président de l’association des commerçants détaillants du Mali…. Le nouveau mouvement a des représentants dans les communes de Bamako, de même qu’à Kati et dans des localités comme Kita et le septentrion malien. Le collectif a pour mission de préserver les acquis ou avancées engrangées par les autorités de la transition. Il s’agit, selon les initiateurs, de procéder à la sauvegarde des résultats notés en matière sécuritaire, diplomatique, de justice et réformes institutionnelles en cours. Selon le porte-voix du collectif, Boubou Mabel Diawara, « nous avons, depuis un certain temps, constaté que le pays est à pied-œuvre pour pouvoir retrouver la souveraineté nationale. Une souveraineté qui se repose d’abord sur la défense nationale, la diplomatie du pays… ». En la matière, poursuit-il, « on a vu successivement nos ministres devant la tribune internationale qui ont pu défendre l’intérêt du pays comme il le faut ». « On a vu aussi nos forces armées de défense et de sécurité qui ont pu mener, toutes seules, les combats contre les terroristes après le départ des troupes françaises ». Jour pour jour, explique le porte-parole, l’armée malienne donne des résultats satisfaisants. Elle a pu répondre aux aspirations des Maliens. D’où la réunion de ces différentes associations et regroupements pour créer le collectif afin de défendre et pérenniser les acquis de la transition, explique l’intervenant. En termes d’action, le nouveau collectif se chargera de protéger l’image des soldats maliens. « Nous n’hésiterons pas à porter plainte contre ceux qui tiendront des propos subversifs contre notre armée, de même que ceux ou celles qui tenteront de diffuser ou partager les images d’attaques, voire celles de nos soldats tombés sur le champ d’honneur. Nous nous dresserons également contre les gens qui tenteront de ternir l’image des bonnes actions du gouvernement ». À cela s’ajoute le cas de toutes celles et ceux qui tenteront de saboter la ligne politique du Gouvernement, et singulièrement les décisions qu’il pourrait prendre contre la politique de la France au Mali, clarifie M. Diawara. Après l’indépendance du Mali, le premier président du pays, Modibo Keïta a chassé les soldats français du territoire national et a créé, par la suite, l’armée malienne. Pour avoir également créé plusieurs usines dans le pays, le premier président a posé les jalons d’une souveraineté économique. Le feu Modibo Keïta s’est aussi penché, sous sa présidence du Mali nouvellement indépendant, sur la confection du franc malien. « Le Mali détenait, de ce fait, sa souveraineté sous Modibo Keïta. Mais il l’a perdu après le départ du premier président panafricain. C’est ainsi que le pays est revenu entre les mains de l’ennemi. Cela, jusqu’à l’arrivée de cette transition qui fait la fierté de tout le monde aujourd’hui », se réjouissent les organisateurs. Selon Abdoulaye Fofana dit 120, le collectif n’hésitera pas non plus à porter plainte contre tout fonctionnaire de l’Etat qui se livrera à des actes intolérables vis-à-vis des textes. « La transition est en train de faire ce que le peuple demande. 90% des Maliens se reconnaissent dans ses actes. Nous nous sommes alors réunis pour sauver le pays et ces actions en cours. Nous voulons être les défenseurs de cette souveraineté retrouvée tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays », enchaine 120. Par la même occasion, le président du collectif pour 5 ans, Diango Bakayoko, de même que celui de l’association des commerçants détaillants du Mali, Ibrahim Maïga, en passant par le représentant du mouvement pionnier, celui de l’association des transpositeurs et autres ont tous témoigné leur « soutien indéfectible » aux autorités de la transition. Mamadou Diarra Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
Conditions de vie et de travail difficiles des Maliens dans les sociétés minières au Mali : La Secmima accuse l’actuel ministre des Mines, Seydou Lamine TraoréConditions de vie et de travail difficiles des Maliens dans les sociétés minières au Mali : La Secmima accuse l’actuel ministre des Mines, Seydou Lamine Traoré
22/03/2023MEDIAS / SOCIETELe secrétaire général de la Section du commerce, des mines et industries du Mali (Secmima), Karim Fomba animé, à la Bourse du travail, une conférence de presse pour évoquer les difficultés auxquelles le secteur des mines est confronté. Pour la circonstance, il était entouré de plusieurs de ses responsables syndicaux. A l’entame de ses propos, le conférencier a rappelé que depuis la conférence de presse qu’ils ont animée au mois de septembre 2022, ils avaient promis de rendre compte de l’évolution de la mise en œuvre des différentes doléances qui ont fait l’objet d’accord avec le gouvernement notamment les cas de licenciements abusifs, la situation des travailleurs des cimenteries… S’agissant des cas de licenciement, il ajoutera que depuis 2000, la mine de Siama avait procédé au licenciement de 12 syndicalistes et plus de 50 autres travailleurs pour des « motifs économiques ». Et de poursuivre que par rapport à cette doléance, le gouvernement avait promis de mettre en place une commission pour se pencher sur cette question, cette commission n’a toujours pas pu voir le jour. A le croire, après la décision du tribunal administratif qui avait annulé la décision de licenciement, la mine a fait appel de cette décision qui se trouve actuellement au niveau de la Cour Suprême du Mali. « A cette allure, nous ne croyons plus à la sincérité de la procédure judiciaire à partir du moment le gouvernement à travers le contentieux de l’Etat s’associe aux avocats de la mine pour défendre la décision de licenciement de plus soixante de travailleurs dont 12 syndicalistes », a-t-il déploré. Selon lui, parmi les agents licenciés, il y a un agent qui avait signé son contrat à Bamako. Donc, selon la législation en vigueur, ce dernier ne peut en aucun cas être licencié par la mine à Sikasso. Et d’ajouter que même les dispositions de la loi qui prévoient le licenciement pour motif économique, avancé par les responsables de la mine, ont été violées. Car, celles-ci précisent en cas de licenciement pour motif économique, les travailleurs licenciés sont prioritaires en cas de recrutement au même poste. Alors que, poursuit-il, dans le cas présent la société a procédé au recrutement dans les mêmes postes. En ce qui concerne, le deuxième point relatif à la situation des travailleurs des différentes cimenteries du Mali, le conférencier a laissé entendre qu’Ils avaient demandé que les sociétés minières et les cimenteries soient soumises aux mêmes dispositions législatives, car elles exactement le travail. Sur ce plan, il existe un véritable dialogue de sourds entre le syndicat et la partie gouvernementale. Car, selon lui, cette dernière ne veut surtout entendre de cette oreille. « Nous assistons à une véritable mafia dans les cimenteries parce que les travailleurs sont réduits à l’esclavage », a-t-il déploré. Par rapport au troisième point, il dira que les problèmes que vie le secteur minier sont créés de toute pièce par le gouvernement malien. Car, les sociétés minières sont retirées aux véritables acteurs qui ont des expertises avérées dans le domaine et confiées à des individus qui n’ont aucune compétente en la matière. Il a aussi déploré que les sociétés minières sont des sociétés écrans derrières lesquelles certains nationaux se cachent pour exploiter leurs compatriotes. A l’entendre, cette situation a contribué à favoriser cette situation. Donc, il a saisi l’occasion pour interpellés les plus hautes autorités de notre pays, car ce sont plus de 400 personnes qui sont menaces par les différents licenciements. Par rapport à la situation qui prévaut à Tabakoto, il dira que cette mine a connu plus cinq cessions donc de changement de nom intervenant après l’expiration des cinq d’exonération accordée aux sociétés minières. « A chaque fois ils évoquent le motif économique pour procéder au licenciement et ils changement le nom de la société qui obtient à son tour cinq d’exonération. Cette pratique constitue un véritable manque à gagner pour notre économie et une menace pour les travailleurs qui font l’objet de licenciement abusif quasi quotidiennement », a fait remarquer le conférencier. Quant à Sadiola, il a précisé que cette mine était exploitée par la société Anglogold qui avait demandé l’allègement de certaines mesures pour la deuxième phase de l’exploitation minière, une requête que le gouvernement a refusée en confiant la mine à une autre société qui n’avait aucune expertise dans le domaine minier. Mais, c’est une société qui a entrepris de donner du travail à ses expatriés en chômage dans ses différentes filiales des autres pays en envoyant au chômage des Maliens. Par rapport à l’implication du ministre de tutelle, le conférencier a martelé que l’actuel ministre des Mines, Seydou Lamine Traoré ne se soucie pas des préoccupations des travailleurs des différentes mines. « Nous n’avons jamais eu un ministre qui se soucie peu des travailleurs des mines », a conclu M. Fomba. Mama PAGA Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
Sensibilisation autour du projet de Constitution : ASSIMI ouvre le bal !Sensibilisation autour du projet de Constitution : ASSIMI ouvre le bal !
20/03/2023MEDIAS / POLITIQUESensibiliser les maliens sur la révision constitutionnelle, trouver un large consensus autour de cette révision, baliser le chemin pour l’organisation d’un référendum apaisé…Ce sont, entre autres, les objectifs recherchés par les Autorités de la Transition. Pour ce faire, le Président de la Transition, ASSIMI Goïta, a décidé, lui-même, de descendre dans l’arène pour expliquer aux maliens la portée de cette consultation référendaire.  En effet, ce lundi 20 mars 2023, le Président de la Transition procédera au lancement de la vaste campagne de sensibilisation autour du projet de révision constitutionnelle. Cet événement intervient quelques jours seulement après la validation de ce projet par le Chef de l’Etat. Et quelques semaines après sa finalisation par une Commission nationale qui l’avait ensuite remis, le 27 février dernier, au Président de la Transition. Dans le but de vulgariser ce projet et pour expliquer les enjeux ainsi que les objectifs du référendum, le Président Assimi Goïta a décidé de descendre dans l’arène et d’ouvrir…le bal. Pour l’occasion, il sera face aux forces vives de la nation dans un exercice très attendu par l’ensemble du peuple malien. Au-delà des discours il s’agira de convaincre les maliens sur l’intérêt de cette consultation référendaire en cette période de Transition. Il s’agira aussi et surtout de contrer la campagne en cours développée par des politiques et certains membres de la société civile qui affichent leur volonté de contrecarrer le référendum. Ils sont opposés à la révision constitutionnelle. Car ils estiment que cette révision ne relève pas de la compétence du pouvoir de la Transition. Au-delà de l’événement de ce jour, les Autorités de la Transition veulent mettre tous les atouts dans la balance afin de réunir une large frange de la population malienne au tour de ce projet constitutionnel. Ainsi, il a été “instruit aux membres du gouvernement de s’approprier le projet constitutionnel et de prendre toutes les dispositions idoines en vue de procéder à sa vulgarisation auprès de nos braves populations “, selon un communiqué signé par le ministre d’état, ministre de l’Administration territoriale et de la décentralisation, colonel Abdoulaye Maïga. Il faut préciser qu’avant cette campagne de sensibilisation le référendum initialement prévu pour le 19 mars 2023 a été reporté pour diverses raisons. En effet, selon les Autorités le report s’explique par la volonté du gouvernement d’appliquer les recommandations des Assises Nationales de la Refondation (ANR), notamment l’installation des représentations de l’organe de gestion des élections dans toutes les régions du pays. Aussi il s’explique par la nécessité d’adapter le fichier électoral aux résultats des travaux de la réorganisation administrative et territoriale. Autre motif du report : la mise en place des coordinations de l’Autorité Indépendante de Gestion des Elections (AIGE). La nouvelle réorganisation administrative et territoriale, la confection de la carte nationale d’identité biométrique sécurisée, ainsi que la vulgarisation du projet sont autant de motifs qui ont amenés le gouvernement à reporter le scrutin. Un long processus Pour rappel, le processus de la révision constitutionnelle a connu plusieurs étapes. Il a été lancé le 10 juin 2022 avec la mise en place d’une commission de rédaction de la nouvelle Constitution. Ensuite le 29juin 2022, le Président de la Transition, a nommé les membres de cette Commission. Elle était présidée par Fousseini Samaké, ancien secrétaire général du gouvernement. Le 11 octobre 2022, le Chef de l’Etat reçoit le projet de constitution. Mais suite à des observations de la classe politique et de la société civile, le Président de la Transition a décidé de mettre en place une commission de finalisation de l’avant-projet de constitution. Ce qui a été fait le 19 décembre 2022. Cette commission avait pour mission entre autres d’examiner les différentes observations formulées par les uns et les autres. Au finish il s’agissait pour le président Goïta de parvenir à une démarche inclusive et consensuelle. Et le 27 février 2023, le président de la Transition a reçu les conclusions de la commission des travaux de cette commission de finalisation. Ce qui est aujourd’hui le projet de la nouvelle constitution du Mali. Un projet validé par le colonel Assimi Goïta et qui sera porté par l’ensemble de membres du gouvernement. Mohamed Sylla Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
Vastes mouvements à la tête des forces armées : le nouveau commandement se met en place !Vastes mouvements à la tête des forces armées : le nouveau commandement se met en place !
20/03/2023MEDIASLe président de la transition, chef suprême des armées, colonel Assimi Goïta a procédé à un important changement à la tête des forces armées. L’Etat-major de l’Armée de Terre, le génie militaire, la Direction de la Sécurité Militaire, le service de santé des armées (DCSSA), la garde nationale ont été concernés par ces changements. Objectif : insuffler un souffle nouveau aux opérations militaires en cours sur toute l’étendue du territoire national. Les passations de commandement entre les chefs sortants et les nouveaux ont eu lieu respectivement dans chacune de garnisons et services concernés par ce vaste mouvement. En effet, le Chef d’Etat-major de l’Armée de terre est le général de brigade Harouna Samaké. Alors que la direction du génie militaire passe sous le commandement du colonel-major Faraba Sangaré. La direction Centrale des services de santé des Armées est désormais dirigée par le médecin colonel-major Guediouma Dembélé. Quant à la Direction de la sécurité militaire, elle est dirigée par le colonel- major Nouhoum Ouattara. Concernant la Garde nationale le Colonel Famouké Camara est nommé Chef d’Etat-major et c’est le général de brigade Moussa Toumani Koné qui prend les rênes de la Gendarmerie nationale. Ainsi, le nouveau chef d’Etat-major de l’Armée de Terre, le général de brigade Harouna Samaké, a officiellement pris fonction le 17 février dernier, au cours d’une cérémonie présidée par le Chef d’Etat-major Général des Armées, le général de division Oumar Diarra. Cette cérémonie s’est déroulée  en présence des chefs d’Etats-majors et directeurs de services ainsi que le personnel civil des forces armées et de sécurité. Le général de brigade Harouna Samaké a remercié les Autorités pour leur confiance placée en lui. Il a aussi salué son prédécesseur pour l’énorme travail abattu à la tête de l’Armée de Terre. Dans son intervention le général Samaké a mis l’accent sur la restructuration en cours de l’AT afin qu’elle réponde efficacement aux missions de protection et de sécurisation de l’intégrité territoriale et des populations. L’un des défis majeurs qui demeurent pour l’Armée de Terre et toutes les autres composantes de l’Armée et des forces de sécurités étant actuellement la lutte contre le terrorisme. Afin de réussir leurs missions, le nouveau Chef d’Etat-major de l’AT a invité les hommes à la cohésion et à l’entente à tous les niveaux. Au génie militaire, la cérémonie de passation entre le directeur sortant et le nouveau a eu lieu  le 20 février dernier à la place d’armes dudit Régiment. C’est le Chef d’Etat-major général des Armées, le général de division Oumar Diarra qui a également présidé cette passation, en présence de plusieurs autres Chefs militaires et directeurs de services. Vu la situation sécuritaire actuelle, et pour répondre aux attentes des autres Armées et de la population, le colonel- major Faraban Sangaré a promis que ses premières actions seront inscrites dans la poursuite de la consolidation des acquis de son prédécesseur. Car dit-il, le Génie militaire est à la fois une arme et un service, cette dualité doit contribuer dans un contexte d’insécurité au désenclavement et à l’effort de développement économique et social du pays. Cette série de passations de commandement s’est poursuivie le 21 février dernier à la Garde nationale où le colonel Famouké Camara est entré en fonction. Le colonel Camara a précisé que ses priorités seront, entre autres, la consolidation des acquis des opérations, le renforcement des capacités humaines afin que la Garde Nationale réponde à hauteur de souhait à ses missions. S’adressant à ses collaborateurs, il s’est dit disponible pour les servir et servir les Autorités pour le succès des armées au Mali. Le colonel Camara a demandé à l’ensemble des gardes de continuer à œuvrer davantage pour relever les défis. Cette cérémonie a été mise à profit pour inaugurer des infrastructures qui ont changé le visage de la Garde Nationale. Il s’agit notamment d’une stèle à la mémoire des martyrs. Ensuite ce fut au tour de la Gendarmerie nationale d’accueillir son nouveau directeur général  le 20 février dernier. La cérémonie de passation entre le directeur sortant et le nouveau a eu lieu  dans l’enceinte de la caserne Balla KONE à Faladiè. Au cours d’une cérémonie le général de brigade Sambou Minkoro Diakité a officiellement passé le commandement au général de brigade Moussa Toumani Koné. Le nouveau patron de la Gendarmerie Nationale entend renforcer le maillage territorial avec plus d’effectifs, le renforcement des capacités du personnel. Le général Koné entend également multiplier les initiatives afin de relever les défis qui attendent la gendarmerie nationale. Dans son intervention le directeur de la gendarmerie a invité ses agents à plus de collaboration avec la population surtout en termes de renseignements. Aussi le général Koné, a insisté sur la cohésion dans les rangs afin d’atteindre les missions. Cette longue série de passations s’est achevée le mardi 21 février dernier à la DCSSA avec la prise de fonction du colonel-major Guédjouma Dembelé. Au cours de cette cérémonie le nouveau patron de la santé des armées a invité son personnel à plus de cohésion pour l’exécution de la noble mission qui lui est confiée. Car selon lui, cette mission collégiale exige l’engagement de tous. Mémé Sanogo Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
EQUIPEMENTS : Les FAMa à la conquête du cielEQUIPEMENTS : Les FAMa à la conquête du ciel
20/03/2023MEDIASLe jeudi 16 mars 2023, le colonel Assimi Goïta, Président de la transition, a présidé la remise officielle d’aéronefs militaires qui viennent  renforcer les capacités opérationnelles de l’Armée de l’air. Les FAMa sont plus que jamais engagées dans la conquête du ciel avec l’acquisition d’équipements performants  dont  des avions de chasse  de types Albatros L-39 et de nouveaux Systèmes de Drones BAYRAKTAR TB2. Ces nouvelles acquisitions participent non seulement à l’amélioration de la puissance de frappe, mais aussi à l’efficacité de l’outil de renseignement, des Forces Armées maliennes. Le Chef d’Etat-major Général de l’Armée de l’air, le général de division Alou Boï Diarra, a déclaré que  l’objectif des Autorités maliennes est de répondre efficacement à la nouvelle stratégie adoptée par les forces obscurantistes. Il s’agit donc pour l’Armée malienne de s’adapter au nouvel environnement, notamment en matière de renseignement. Pour sa part le ministre de la Défense et des Anciens Combattants, colonel Sadio Camara  a saisi cette occasion pour lancer un vibrant appel aux fils égarés de la Nation d’accepter de revenir dans les rangs et de respecter les lois de la République. Aux récalcitrants, il rassure que leurs actions de harcèlement ne dureront pas longtemps puisqu’ils seront traqués et envoyés au repos éternel. Le ministre de la Défense et des Anciens Combattants a  salué et remercié « les partenaires fiables et sincères du Mali, notamment la Fédération de la Russie et la République de Turquie. » Le L-39 Albatros : L’un des  avions les plus performants de tous les temps. Le L-39 Albatros   est un avion d’entraînement et d’attaque léger russe. Il a été utilisé comme avion d’entraînement avancé pour les pays du Pacte de Varsovie et a servi d’avion de combat pour de nombreuses nations dans le monde. Ensuite cet appareil est devenu l’un des avions militaires du bloc de l’Est les plus performants de tous les temps. C’est un avion polyvalent qui a été conçu pour l’entraînement, la reconnaissance aérienne et les missions de combat. L’avion a été utilisé par les forces aériennes tchécoslovaques, iraniennes, irakiennes et koweïtiennes, ainsi que par de nombreux autres pays. Il est utilisé   pour des opérations d’attaque au sol et même des combats. En termes de caractéristiques de conception, le L-39 Albatros est  équipé de deux moteurs sur chaque aile, ce qui lui permet d’atteindre une vitesse et une maniabilité importantes. Il possède également un train d’atterrissage rétractable qui lui permet de décoller de terrains plus courts. En outre, le L-39 Albatros possède un cockpit entièrement pressurisé, ce qui le rend apte aux vols à haute altitude. Aussi  grâce à ses performances   L-39 a été utilisé dans de nombreux conflits et exercices d’entraînement à travers le monde. Il a été en service actif dans plusieurs guerres, notamment les guerres de Yougoslavie et l’opération Tempête du désert… Précisions : le L-39 Albatros  est un appareil très redoutable équipé d’un pod canon  et qui peut transporter des  bombes de 500 kg. Baykar Bayraktar II : Un drone redoutable Depuis quelques mois le Mali possède ce redoutable engin volant qu’est le Baykar Bayraktar II.   Il est de fabrication turque. Ce drone  de reconnaissance tactique à ailes basses, muni d’un empennage bipoutre avec des dérives reliées à leur extrémité. En outre, Baykar possède une structure en fibres de carbone et en matériaux composites, dont seuls quelques éléments nécessitant un usinage extrêmement précis sont en aluminium. Le fuselage, ainsi que les ailes, les empennages, les jambes du train d’atterrissage, sont démontables et facilement remplaçables. Une tourelle stabilisée sphérique, installée sous le fuselage, permet d’emporter des caméras TV et IR, ainsi qu’éventuellement un désignateur et télémètre laser. Une caméra fixe, dirigée vers l’avant, est installée au sommet des dérives pour permettre de filmer le drone et son environnement. Les images, de même que les données de vol, sont retransmises en direct à une station de contrôle au sol. La mission peut être programmée avant le vol, l’appareil se guidant grâce à son système de pilotage automatique par GPS et centrale inertielle, tout en pouvant être modifiée à tous moment. Durant ces missions entièrement automatisées, un seul opérateur est nécessaire. Il est également possible de retransmettre les informations sur trois consoles, afin de gérer un maximum d’informations en temps réel et obtenir une plus grande souplesse. Dans ce cas, trois personnes peuvent être engagées par drone, soit un pilote, un opérateur de charge utile (caméras, etc.) et un responsable de mission qui gère les informations et commande les deux opérateurs. La raison du succès du Bayraktar TB2 ? Avec son envergure de douze mètres, l’engin de 650 kg peut voler pendant 27 heures à une vitesse de 222 km/h. S’il possède une avionique triplée et peut transporter jusqu’à quatre munitions guidées par laser. Il peut également  frapper des cibles fixes ou mobiles distantes d’une dizaine de kilomètres. Mémé Sanogo Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
Appel du président de transition à la jeunesse : Mossa comble les attentes de AssimiAppel du président de transition à la jeunesse : Mossa comble les attentes de Assimi
20/03/2023MEDIASLe samedi 18 mars 2023, une grande mobilisation de jeunes était au Palais des Sports, Salamatou Maïga de Bamako pour à l’appel du président de la transition, le col. Assimi Goïta. Cette mobilisation entre le cadre de la journée de mobilisation patriotique et d’engagement de la jeunesse malienne initiée par le département de la Jeunesse et des Sports, chargé de l’Instruction civique et de la Construction Citoyenne sous la houlette de Mossa Ag Attaher. Sous le thème : « contribution de la Jeunesse pour un Mali uni et prospère », cette grande mobilisation était placée sous la haute présidence du président de la Transition, le Colonel Assimi Goïta, représenté par le ministre d’État, ministre de l’Administration Territoriale et de la Décentralisation, le colonel Abdoulaye Maïga. Des représentants de toutes les régions du Mali et de la diaspora étaient là pour exprimer leur vive reconnaissance et leur soutien indéfectible à la Transition et au Colonel Assimi Goïta. Outre la jeunesse malienne, le président des jeunes du Burkina Faso non moins président de l’union panafricaine de la jeunesse et celui de la Guinée y étaient également présents à cette mobilisation en faveur de la Transition au Mali et son leader, le Colonel Assimi Goïta. Plusieurs ministres et anciens ministres ont également rehaussé cette mobilisation patriotique par leur présence. La mobilisation était de taille. L’événement a commencé par un défilé des jeunes de toutes les régions du Mali. Cette mobilisation patriotique est une réponse à l’appel du président de la Transition, Chef de l’État, Colonel Assimi Goïta qui, lors de sa rencontre avec la Jeunesse malienne, le 1er juin 2021, à Koulouba en ses termes : « je suis jeune au même titre que vous. Si j’échoue, c’est toute la jeunesse malienne qui a échoué… », a indiqué, le président du Cnj Mali, Habib Dakouo. Le premier responsable de la Jeunesse malienne à tenu aussi à manifester le soutien inconditionnel de toute la jeunesse malienne. « La jeunesse, s’engage pour une réussite absolue de la Transition malienne en cours » a-t-il rassuré avant d’ajouter que des actions futures suivront ce rassemblement. Il a par ailleurs lancé un appel à l’union sacrée de toute la jeunesse. Prenant la parole, le ministre de la Jeunesse et des Sports, chargé de l’Instruction civique et de la Construction Citoyenne, Mossa Ag Attaher a estimé qu’en écho à ce vibrant appel patriotique doublé des principes qui sous-tendent désormais l’action publique, la jeunesse malienne reste plus que jamais mobiliser pour densifier les actions et faire de la Transition, une réelle réussite, « j’allais dire une parfaite réussite ». Au président de la transition, Mossa Ag Attaher laisse entendre, les jeunes du Mali sont venus répondre votre appel Monsieur le Président de la Transition et signifier tout leur engagement, toute leur détermination pour vous soutenir Président et partant de cela, se soutenir eux-mêmes pour être au rendez-vous de l’honneur et de la dignité. Une occasion pour rappeler que « sans les jeunes, le futur est futile. Notre défi est de permettre à la jeunesse de réaliser son plein potentiel. Nous devons encourager les jeunes à reprendre à leur compte les initiatives innovantes de créativité, de productivité et d’inventivité, altruistes et d’attache à leur communauté, gage d’un développement global et harmonieux de notre espace national », Souligne le chef de département de la Jeunesse et des Sports. Aussi, considère-t-il que le meilleur investissement est celui réalisé dans les jeunes. « Dans cette perspective, sous votre impulsion, excellence monsieur le Président de la transition, le Gouvernement vient d’adopter la Politique nationale de la Jeunesse et son Plan d’actions 2023 – 2027 » a-t-il rappelé tout en soulignant que « cette Politique nationale se fixe comme objectif fondamental de contribuer au bien-être général des jeunes du Mali, en faisant d’eux des acteurs majeurs du changement en faveur de la paix, de l’unité nationale et le principal moteur du développement économique, social et culturel ». Toujours à travers la vision de la Politique nationale de la Jeunesse, rappelle-t-il, le Mali s’engage résolument à faire de sa jeunesse, un acteur incontournable et décisif de son développement économique, social et culturel, en investissant massivement dans l’amélioration de ses compétences, dans son insertion socio-économique, politique et culturelle conformément aux aspirations des jeunes. Notons que plusieurs distinctions ont eu lieu au cours cet événement. En effet, le ministre Mossa Ag Attaher a été honoré par la Jeunesse malienne qui lui a offert un tableau, en guise de reconnaissance. Outre cela, des Attestations de reconnaissance ont été remis à certains jeunes du pays pour leur leadership et leur engagement au profit de la nation malienne. Il s’agit notamment de Abdoulaye Touré, Habib Dakouo, président du Conseil national de la Jeunesse du Mali, Mohamed Maki Bah, Fatoumata Diawara… Les présidents des conseils nationaux de jeunesse du Burkina Faso et de la Guinée ont aussi été honorés à travers la remise d’Attestations de reconnaissance. La cérémonie a été clôturée par la remise d’un manifeste de la Jeunesse malienne au président de la Transition, Colonel Assimi Goïta. Il a été reçu par son représentant, le ministre d’État, ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, porte-parole du Gouvernement, Colonel Abdoulaye Maïga. Un trophée spécial lui a été aussi offert toujours par le CNJ. Des prestations musicales de plusieurs artistes maliens étaient aussi à l’ordre du jour. Il s’agit notamment de Sidiki Diabaté, Kader Tarhanine, Dr Keb, Aliya Coulibaly, Seydou Che pour ne citer que ceux-là. Ibrahim Djitteye Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
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