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Santé

Santé SOCIETE 

« Irrégularités » et dépenses « injustifiées » au CSCOM central de Kalaban-Coro : De forts soupçons sur la gestion « opaque » du bureau sortant de l’ASACOKA !

18/01/202317/01/2023 fasomali Aucun commentaire

Non-transparence dans la gestion des ressources ; construction de bâtiment sans autorisation ; gestion unilatérale et clandestine de la structure

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COVID-19 Environnement 

Réponse aux changements climatiques et à la covid-19 : Bandiagara lance des deux projets pour la résilience communautaire

18/01/202317/01/2023 fasomali Aucun commentaire

En visite dans le pays dogon, le ministre délégué auprès du ministre du Développement Social chargé de l’action Humanitaire, l’Imam

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MEDIAS Santé 

20e session ordinaire du Conseil d’Administration de l’ANAM : Les collectivités territoriales invitées à jouer pleinement leur partition dans le financement du RAMED

17/01/202316/01/2023 fasomali Aucun commentaire

L’Agence Nationale d’Assistance Médicale (ANAM) a tenu la 20ème session ordinaire de son Conseil d’Administration, le vendredi 13 janvier 2023,

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Santé 

SANTE REPRODUCTIVE : L’Onasr plaide pour la création d’une ligne budgétaire

11/01/202311/01/2023 ledemocratre Mali Aucun commentaire

L’Office national à la santé de la reproduction (ONASR) a organisé, dans ses locaux, le 30 décembre dernier, un atelier

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Santé 

Lutte contre le VIH/Sida : La FEMAPV VIH invite le gouvernement à s’impliquer dans la prise en charge des personnes vivant avec le VIH

10/01/202309/01/2023 fasomali Aucun commentaire

La fédération des associations des personnes vivant avec le VIH/Sida a organisé une conférence de presse, hier lundi 9 janvier

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Santé SOCIETE 

Mois de la santé et de la protection sociale : la quatrième semaine lancée

19/12/2022 fasomali Aucun commentaire

Le vendredi 16 décembre 2022, s’est tenu à l’hôtel Mæva la cérémonie de lancement des activités de la quatrième semaine,

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MEDIAS Santé 

Lutte contre le VIH SIDA au Mali : les leaders religieux et coutumiers s’y engagent

19/12/2022 fasomali Aucun commentaire

L’hôtel Mæva palace a servi de cadre le jeudi 15 décembre 2022 pour la cérémonie de lancement du projet initiative

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COVID-19 Santé 

Gestion des déchets biomédicaux dans un contexte de pandémie à la Covid-19 : 40 agents des CSCOM de la région de Bougouni formés

15/12/202214/12/2022 fasomali Aucun commentaire

Après les étapes des régions de Kayes et de San sur la gestion des déchets biomédicaux dans un contexte de

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Interview Santé 

Rôle des tradithérapeutes dans la médicine : Mohamed Fall, le président de la FEMATH fait le point

12/12/202211/12/2022 fasomali Aucun commentaire

Dans une interview qu’il a bien voulu nous accorder, le Tradithérapeute Mohamed Fall a non seulement parlé de son association,

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Santé 

Mois de la santé au Mali : l’arthrose au cœur des échanges d’une conférence de presse

08/12/202207/12/2022 fasomali Aucun commentaire

Le mardi 07 décembre 2022 s’est tenu à la salle de conférence du ministère de la santé et du développement

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25/10 15:30 DIPLOMATIE : M. Hamidou Boly (représentant spécial de la CEDEAO) déclaré « persona non grata » par le gouvernement du Mali . Il a 72h pour quitter le sol malien.
https://youtu.be/V7dZc0ioB7w

EDITORIAL

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25/01/202324/01/2023 ledemocratre Mali 0

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17/01/202316/01/2023 fasomali 0

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11/01/202311/01/2023 ledemocratre Mali 0

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MEDIAS
Justice : Le serment de KassoguéJustice : Le serment de Kassogué
26/01/2023Justice / MEDIASComme pour répondre aux nombreux appels des citoyens pour une justice saine, le ministre de la Justice Mamadou Kassogué, a lancé, le 23 janvier 2023 la première édition de la semaine de la justice. Il ne s’agit pas d’un vain slogan. Le garde des sceaux veut en réalité changer les choses dans le bon sens en mettant toute une semaine à profit pour rendre la justice plus proche des citoyens. Au-delà de l’opération de communication, le ministre de la justice entend tracer la voie d’un profond amour entre les justiciables et les hommes en toges. En clair, le département de la justice veut perpétuer cette perception positive avec la Loi d’Orientation et de Programmation du secteur de la Justice, 2020-2024. A en croire le ministre de la justice, la finalité de cette loi est de bâtir un service public de justice accessible, efficace et performant de nature à restaurer la confiance des justiciables en la justice. Kassogué a invité les acteurs de la justice à tous les niveaux à la distribution de la justice à s’engager. Pour lui, c’est à la justice de veiller à la saine et correcte application de la loi, de protéger les citoyens contre la violation de leurs droits, de décider et de mettre fin à des conflits dans différents domaines, mais aussi de sanctionner correctement les comportements interdits. Le ministre de la Justice qui est connu pour sa probité veut que la rigueur de la loi soit la même pour tous. En 2022, le ministère de la justice a amélioré la façon de la distribution de la justice en créant : un premier pôle national financier, une école de l’administration pénitentiaire et de l’éducation surveillée, un pôle judiciaire de lutte contre la cybercriminalité, une agence de gestion des biens gelés, saisis ou confisqués. Il a inscrit au programme de la semaine: l’organisation  des conférences de parquet sur l’état des lieux des lettres circulaires destinées à donner des orientations et des instructions correctives relativement aux dysfonctionnements du service public de la justice, mais aussi les errements et autres attitudes déviantes. Ces rencontres regrouperont du 24 au 25 janvier des Procureurs généraux des Cours d’appel de Bamako, Kayes et Mopti, les Procureurs de la République et autres Magistrats du parquet. Il y aura des journées portes ouvertes au pôle économique et financier, dans les tribunaux de commerce, du Travail et pour enfants et une rencontre avec la presse et la société civile sur la lutte contre la corruption et la délinquance économique et financière. Kassogué est convaincu que la justice est peu connue des justiciables voire du citoyen tout court. Une enquête menée en 2018 sur les besoins des maliens en matière de justice révèle, selon le garde des sceaux, que « 32% de nos compatriotes sont informés, sur la justice, par le canal familial ou parental contre 3% par l’Avocat et 2% par le Bureau d’Accueil et d’Orientation des services judiciaires ». La, même étude indique que « 19% des maliens ne savaient pas ce qu’il fallait faire quand un problème de justice se posait et 30% des justiciables pensaient qu’ils n’avaient pas besoin d’être informés sur la justice ». Ainsi, beaucoup de citoyens ignorent comment trouver l’information pertinente sur la justice au Mali. Pour Kassogué, la méconnaissance de la justice est une responsabilité partagée entre le système judiciaire et le justiciable pour la simple raison que la justice doit fournir des efforts pour se faire connaitre et que le justiciable doit se faire l’obligation, de sortir du cadre familial, pour approcher les services judiciaires, à la quête d’informations fiables. Par ailleurs, cette triste réalité est atténuée par les chiffres fournis par l’enquête menée par « MALI-METRE » qui révèle que 56% des maliens avaient confiance en la justice en 2020. A en croire le ministre de la justice, ce résultat est à l’actif des différents efforts fournis par la Transition qui a largement contribué à une certaine perception positive des concitoyens à la justice. Mais Kassogué veut faire mieux en mettant l’accent sur les dysfonctionnements dont il a parlé. Mieux que son serment de rendre une justice saine en tant que magistrat, le garde des sceaux est en train de rédiger un testament. Si les réformes qu’il est en train d’engager marchent, il aurait écrit une page glorieuse de l’histoire du Mali dont se souviendront les citoyens. Soumaila Diarra Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
Nouveau découpage administrative : Ansongo demande son érection en régionNouveau découpage administrative : Ansongo demande son érection en région
26/01/2023MEDIASA un an des élections générales au Mali, la question du nouveau découpage administratif demeure toujours une préoccupation majeure. Après les contraintes soulignées par le président de l’Autorité Indépendante de Gestion des Elections (AIGE), lors de la réunion de comité de pilotage du referendum et des élections générales, le 23 janvier 2023, une délégation des ressortissants d’Ansongo vient soulever cette problématique du découpage administratif avec sa demande d’érection du cercle en région. C’était lors de sa rencontre avec le premier ministre, en début semaine. Erigé le cercle d’Ansongo en région, c’est la volonté exprimée par les ressortissants de cette localité lors de leur rencontre avec le premier ministre en début de semaine. Cette demande vient remettre sur la table des débats, la problématique du nouveau découpage administratif qui continue de verser de l’ancre. Certes, on ne peut pas ignorer le facteur de l’insécurité crissant, mais il faut également rappeler que la non opérationnalisation de beaucoup de nouvelles localités administratives est due en grande partie aux contraintes sociopolitiques opposées à cette initiative des plus hautes autorités du Mali. On se rappelle que beaucoup de manifestations avaient été organisées par les populations certaines zones concernées contre ledit projet de nouveau découpage administratif. Si ces manifestations n’ont pas d’impact visible à court terme sur la gouvernance du pays, il faut signaler que tout manque de consensus affirmé peut jouer sur l’organisation du referendum et des futures élections générales. Déjà, lors de la réunion du comité de pilotage du referendum et des futures élections générales, le président de l’Autorité Indépendante de Gestion des élections (AIGE), Me Moustaph Cissé avait souligné des contraintes de la nouvelle configuration territoriale, notamment sur la mise en place des coordinations de l’AIGE à l’intérieur du pays. « Au titre de la mise en place des coordinations de l’AIGE, il y a lieu de signaler les contraintes liées à la perspective de l’adoption par le CNT de la loi relative à la réorganisation territoriale. Nous attendons l’effectivité de cette nouvelle configuration territoriale pour la mise en place de toutes les coordinations de l’AIGE, ainsi que l’actualisation définitive du fichier électoral sur la base du nouveau découpage territorial » a-t-il expressément souligné devant le ministre d’état, le ministre de l’administration territoriale et de la décentralisation, porte-parole du gouvernement, le col. Abdoulaye Maïga. Au moment où l’opinion publique considère cette question définitivement réglée, une délégation des ressortissants d’Ansongo, en visite chez le premier ministre, Dr Choguel Kokalla Maïga a exprimé son souhait de voir le cercle ériger en une région. « Ansongo mérite d’être ériger en région pour des raisons plus qu’évidentes » indiqué un des membres de cette délégation, M. Saloum Moussa Maïga, au premier ministre avant de citer les principaux atouts qui appuis cette demande. Issa Djiguiba Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
Jeunesse et transition : Malick Diaw félicite le CNJ et s’engage à l’accompagnerJeunesse et transition : Malick Diaw félicite le CNJ et s’engage à l’accompagner
26/01/2023MEDIASLe Président du CNJ, Habib Dakouo, à la tête d’une délégation de son organisation a été reçu par le Président du CNT, Colonel Malick Diaw entouré pour la circonstance par des membres du CNT. C’était le mercredi 25 janvier 2023 dans les locaux du CNT sis au CICB. Le Président Habib était allé expliquer au Président du CNT un certain nombre de facteurs en lien avec le fonctionnement de son organisation, par-delà avec celui de l’Etat. Ce qui l’amena à argumenter les raisons de la prorogation du mandat de toutes les instances du CNJ; les difficultés auxquelles lui et son équipe font face; plaider l’assistance de l’Etat afin de rendre plus efficace le CNJ à travers des appuis multiformes. Dans le même registre, le Président Habib Dakouo a sollicité le soutien du Président du CNT pour l’acquisition d’un siège propre au CNJ; pour l’appui à la commission de relecture des textes du CNJ dans le but de faire un congrès transparent à la fin de son mandat… Le Président Habib a remercié les autorités pour tous les efforts consentis au bénéfice de la jeunesse. Occasion pour lui, de renouveler l’engagement de la jeunesse du Mali à travers le CNJ à accompagner les autorités pour la réussite de la transition. Quant au Président du CNT, Le Colonel Malick Diaw, il a félicité le CNJ pour cette démarche qu’il trouve sincère et bonne car le CNJ est un levier essentiel pour la matérialisation de toutes les volontés politiques surtout en période de transition. Il s’est dit rassuré après avoir écouté les explications du Président de la jeunesse sur les questions en rapport avec le secteur des jeunes et a souligné son optimisme quant à la communion entre les jeunes du Mali sous la conduite du CNJ pour le plus grand bonheur du Mali. Pour les doléances, le Colonel Diaw, a manifesté tout l’intérêt que les autorités portent au CNJ. A cet effet, il a promis que leur accompagnement ne fera pas défaut. Keletigui Danioko Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
Ginna Dogon rend hommage à l’ancien Président : Levée de deuil pour le Hogon ATTGinna Dogon rend hommage à l’ancien Président : Levée de deuil pour le Hogon ATT
26/01/2023Art & Culture / MEDIASLe mardi 24 janvier 2023, la communauté dogon à travers l’association Ginna Dogon a organisé une cérémonie de levée de deuil, deux ans et deux mois après la disparition de l’ancien Président Amadou Toumani Touré, Hogon de la communauté. Cette cérémonie pleine à la fois d’émotion et de sens pour la communauté dogon a eu lieu au domicile du défunt Président, en présence de Touré Lobbo Traoré et des membres de la famille. Cette levée de deuil dans la tradition dogon marque le début du repos éternel pour le défunt. Elle est aussi et surtout l’expression de la marque de reconnaissance et de fidélité des Dogon à l’adresse d’un de leurs chefs. Hogon ATT l’a été, Hogon il le restera pour toujours ! Qui mieux que Nouhoum Tapily, ancien procureur et président de l’association Ginna Dogon pouvait expliquer le sens de cet évènement qui s’est tient en marge du festival Hogobagna ? ” Cette cérémonie est symbolique ! Mais elle n’est pas donnée à tout le monde. C’est un évènement qui se raconte ” a précisé M. Tapily. Le président de Ginna Dogon a ainsi exprimé toute la reconnaissance de sa communauté à l’endroit d’un homme qui a marqué l’histoire du Mali et qui s’est consacré à l’édification d’une nation stable et prospère…” Le Mali et le peuple dogon resteront éternellement reconnaissants au Président ATT “, affirmé le président de Ginna Dogon. Celui-ci a également insisté sur certains traits élogieux de sa communauté. ” Le dogon se caracterise par sa loyauté et sa fidélité…La mort ne séparera pas ATT de la communauté dogon, et elle ne séparera pas cette communauté de la progéniture d’ATT ” dira Tapily. La famille du Président ATT, par la voix de Amadou Ba Aly Traoré, a remercié chaleureusement Ginna Dogon et l’ensemble de la communauté dogon pour l’organisation de cette cérémonie qui n’est pas une première. En effet, d’autres cérémonies d’hommage ont été organisées par Ginna Dogon depuis la disparition d’ATT. Chants, danse des masques ont marqué cette levée de deuil. Et chaque prestation avait une signification particulière. L’accent a été mis surtout sur la paix, la cohésion et le vivre ensemble pendant ces différentes prestations. Pour mémoire : l’association Ginna Dogon avait organisé une journée d’hommage à Amadou Toumani Touré, lors du festival Ogobagna en janvier 2021. En cette occasion plusieurs témoignages ont été faits pour magnifier les relations solides qu’ entretenait ATT et l’ensemble des communautés maliennes et particulièrement celles entre le Hogon ATT et sa …communauté. M.S  Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
Semaine de la justice : « Nous devons être conscients des enjeux et des défis auxquels la justice est confrontée », dixit le président de la Cour Suprême aux magistratsSemaine de la justice : « Nous devons être conscients des enjeux et des défis auxquels la justice est confrontée », dixit le président de la Cour Suprême aux magistrats
26/01/2023Justice / MEDIASLes travaux de la troisième journée de la Semaine de la justice ont eu lieu, ce mercredi 25 janvier 2023, dans l’enceinte de la Cour Suprême du Mali. Le lancement de la cérémonie, placé sous l’égide de Fatogoma Théra, président de la cour, concernait à la fois la tenue d’une conférence sur « la célérité dans le traitement des dossiers, le sort des scellés », et celle d’une autre sur « la procédure contentieuse devant les juridictions administratives, la compétence du juge administratif et du juge judiciaire en matière foncière, la technique de cassation ». Destinée à faire connaitre, comprendre et mieux expliquer la justice aux justiciables, l’initiative dénommée ‘Semaine de la justice’’ se poursuit. Les travaux de la troisième journée ont eu lieu hier à la Cour Suprême du Mali. La rencontre a réuni aussi bien les magistrats de l’ordre judiciaire que ceux de l’ordre administratif. Les travaux ont concerné la tenue d’une conférence de siège dont le thème portait sur « la célérité dans le traitement des dossiers et le sort des scellés », pour ce qui concerne les magistrats de l’ordre judiciaire. Quant à ceux de l’ordre administratif, ceux-ci ont eu droit à la conférence des juridictions administratives dont le thème portait sur « la procédure contentieuse devant les juridictions administratives, la compétence du juge administratif et du juge judiciaire en matière foncière, la technique de cassation ». La Cour Suprême « est la plus haute juridiction en matière judiciaire, administrative et des comptes », selon l’article 2 de la loi N°2016-046 du 23 septembre 2016 portant loi organique fixant l’organisation, les règles de fonctionnement de la Cour Suprême et la procédure suivie devant elle. En faisant le choix de devenir magistrat, l’actuel président de la Cour Suprême trouve, à l’occasion de ce lancement, que les magistrats se sont engagés à servir leur pays. « Nous entrons, en faisant le choix de devenir magistrat, au service de la construction, ou plutôt de la consolidation de l’Etat de droit dans notre pays. Plus précisément, spécifie le magistrat, nous devenons des acteurs du service public de la justice ».Rendre la justice est une belle vocation. Mais aussi, selon Fatogoma, une immense responsabilité. C’est d’ailleurs pour cette raison que le président de la Cour appelle les magistrats participants à plus de formation, de recherche et de renforcement de leurs capacités professionnelles. « En complément de nos études de droit et de nos expériences professionnelles, nous devons nous familiariser avec les outils procéduraux, les méthodes de travail et le fonctionnement des juridictions », a-t-il prodigué aux magistrats. En plus des techniques et du raisonnement juridique qu’ils doivent absolument connaitre par cœur, les juges du pays doivent également être conscients des difficultés et défis à relever. C’est du moins ce qu’annonce Fatogoma Théra : « Au-delà des techniques et du raisonnement juridique que nous devons maitriser, nous devons aussi être conscients des enjeux et des difficultés auxquels la justice est confrontée dans son exercice quotidien ».D’après lui, la justice est rendue par trois ordres de juridictions distinctes. Les deux ordres juridictionnels historiques sont l’ordre administratif et judiciaire, complétés aujourd’hui par l’ordre des comptes. Ce dernier est dérivé de l’ordre administratif. L’ordre des comptes, représenté par la section des comptes de la Cour suprême, est en voie d’érection en cour des comptes. Il a presque recouvré sa pleine autonomie, confiera le président. Il dit suggérer, pour les prochains travaux, l’implication de l’ordre des comptes dans le déroulement d’une telle initiative (Semaine de la justice) venant du département de la justice. Quant aux thématiques du jour, le magistrat se dit persuadé qu’elles évoquent des problématiques qui, de nos jours, sont au cœur des préoccupions des populations du Mali, de même que les acteurs de la justice. Mamadou Diarra Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
Conférence de parquet : le ministre Kassogué invite les magistrats « au respect des droits de l’homme » et « à la lutte contre l’impunité sous toutes ses formes »Conférence de parquet : le ministre Kassogué invite les magistrats « au respect des droits de l’homme » et « à la lutte contre l’impunité sous toutes ses formes »
26/01/2023Justice / MEDIASDans le cadre de la Semaine de la justice, une conférence de parquet a été animée, le mardi 24 janvier 2023 au sein du ministère de la Justice et des Droits de l’homme. Avec pour thème : « Etat des lieux des circulaires prises par le ministre de la Justice et des Droits de l’homme, Garde des Sceaux », la cérémonie était placée sous l’égide du ministre Mamoudou Kassogué. Mettant l’occasion à profit, le Garde des Sceaux est revenu sur les principes guidant l’action publique au niveau des parquets. Aussi, Mamoudou invite les magistrats à lutter contre la corruption, l’impunité, au traitement des dossiers dans le délai, au respect des droits de l’homme… Ils étaient venus de Kayes, de Mopti et d’autres localités du pays pour assister à cette conférence visant à expliquer les différentes circulaires prises par le ministre Kassogué. La rencontre de taille a été marquée par la présence des Procureurs généraux et des procureurs de la République, les membres du département de la justice, les représentants des services centraux et assimilés du ministère…Selon le Dr. Boubacar Sidiki Diarrah, secrétaire général du ministère de la Justice, les circulaires jouent un rôle important dans le fonctionnement du travail des magistrats. Elles sont prises pour donner des orientations aux magistrats du parquet ; apporter des corrections allant dans le sens du bon déroulement de leur travail…. Président de la commission d’organisation de la Semaine de la justice, Boubacar Sidiki Diarrah annonce qu’une dizaine de circulaires a été prise, en 2022, par le ministre Kassogué. Déjà cette année, fait-il savoir, le ministre a pris quatre (4) circulaires. Pour sa part, Mamoudou tenait à rassurer les magistrats participants : « Nous sommes ensemble, les choses vont dans le bon sens et nous allons ensemble voir comment les améliorer ».Fin connaisseur du rôle des participants, le magistrat ministre s’est plutôt penché sur le rappel des principes qui guident l’action publique au niveau des parquets, dans le cadre de la politique du département. Parmi lesquels figure la lutte contre l’impunité sous toutes ses formes et dans toutes ses dimensions. Aux magistrats, le ministre ne cessait de dire que dans tout pays où l’impunité règne, ce pays est appelé à se décomposer et à se détruire. « Nous devons lutter contre l’impunité de manière efficace et totale, faire en sorte que le niveau diminue progressivement, et finit par disparaitre à long terme ». Il s’agira, le précise-t-il aux magistrats, d’engager une lutte sans concession, objective et transparente. Une lutte qui, dit-il, met tous les citoyens sur le même pied d’égalité. En la matière, énonce-t-il, il n’y a pas de privilège à prendre à compte, sauf les rares prévus par la loi. Comme deuxième principe, le ministre insiste sur la célérité dans le traitement des dossiers. Un principe qui, va-t-il faire connaitre, est particulièrement important dans la fonction de la magistrature. « Nous savons que lorsqu’une infraction se commet, la réponse pénale est fortement attendue. Lorsque nous nous éloignons du temps de la commission de l’infraction, les gens ont l’impression qu’il n’y a pas de justice. Nous devons veiller à ce tous les dossiers qui nous sont soumis puissent recevoir un traitement diligent. Traiter les dossiers dans un délai raisonnable est, pour le ministre, une obligation qui nous (magistrats) incombe ». Un autre principe, poursuivra le Garde des Sceaux, c’est le respect des droits et libertés, notamment en matière de garde-à-vue et de détention provisoire. « Nous devons une actions publique efficace, diligente et vigoureuse, mais dans le respect des droits et libertés des personnes mises en cause, parce que nous avons des principes à respecter, notamment la présomption d’innocence, la proportion des peines devant être appliquées ». « Nous devons faire en sorte que les personnes mises en cause puissent bénéficier d’un procès équitable ». Comme troisième principe, le magistrat ministre s’accentue sur le contrôle interne, en plus du contrôle externe des juridictions exercé par l’inspection des services judiciaires. Le contrôle interne doit, pour lui, être une règle d’or que les magistrats doivent observer. Sans langue de bois, le chef du département invite les magistrats à exercer l’entièreté des attributions à eux reconnues par la loi de manière efficace. À ses dires, le procureur est le premier responsable dans un parquet. Les autres membres doivent lui suivre. Aussi, rappelle-t-il, le cinquième principe guidant l’action publique au niveau des parquets est la communication, un dialogue interne constructif. « Il est important que cette communication soit aussi dirigée vers l’extérieur, pour informer le justiciable par rapport à ce que nous faisons, aux difficultés, aux perspectives. Cela est particulièrement important, parce que nous sommes dans un monde où la communication a pris le dessus sur tout. Quand vous ne communiquez pas, c’est comme si vous n’existez pas ou faites rien ». Aujourd’hui, ajoute le ministre, « nous devons changer de cap, communiquer efficacement et informer les citoyens au bon moment sur les affaires qui méritent qu’une communication soit faite ». Mamadou Diarra Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
GESTION DU MATERIEL ROULANT DE L’ETAT PAR LA DIRECTION GENERALE DE L’ADMINISTRATION DES BIENS DE L’ETAT (DGABE) : Une mise en œuvre des recommandations globalement très peu satisfaisanteGESTION DU MATERIEL ROULANT DE L’ETAT PAR LA DIRECTION GENERALE DE L’ADMINISTRATION DES BIENS DE L’ETAT (DGABE) : Une mise en œuvre des recommandations globalement très peu satisfaisante
26/01/2023ECO & FINANCE / MEDIASDans son rapport de vérification de performance effectuée en 2018, le Vérificateur Général, Monsieur Samba Alhamdou BABY avait fait des recommandations à la DGABE, aux fins de corriger les dysfonctionnements constatés et espérer une meilleure gestion administrative et financière au sein de ladite structure. A cet effet, une mission de suivi des recommandations s’est effectuée en 2022, dont l’objectif était de s’assurer de la mise en œuvre des recommandations formulées lors de la vérification initiale et d’apprécier leur niveau de mise en œuvre et la correction des faiblesses constatées. La mission de suivi des recommandations laisse entrevoir un bilan négatif de la DGAB. Le bilan du suivi des quatorze (14) recommandations formulées en 2018 par le Vérificateur Général se présente comme suit en 2022. Etat de mise en œuvre des recommandations : Le taux des recommandations entièrement mises en œuvre est de 12,50%. En effet, sur les 14 recommandations formulées par l’équipe de la vérification de performance initiale, une (1) est entièrement mise en œuvre soit 12,50%, une (1) est partiellement mise en œuvre soit 12,50%, six (6) ne sont pas mises en œuvre soit 75,00% et six (6) sont caduques ou sans objet. Le taux de mise en œuvre totale est déterminé sur les huit (8) recommandations applicables en dehors de celles caduques ou sans objet. Le niveau global de mise en œuvre des recommandations n’est pas satisfaisant. 1.Recommandation entièrement mise en œuvre : Le Premier ministre a fait prendre des dispositions pour clarifier les compétences en matière de vente à l’amiable des matériels et matières de l’Etat admis à la reforme. 2.Recommandation partiellement mise en œuvre : Les certificats de propriété des véhicules de l’Etat ne sont pas établis. 3.Recommandations non mises en œuvre : La DGABE ne dispose pas d’un manuel des procédures. La DGABE n’a pas élaboré les éléments de la politique en matière de gestion du patrimoine mobilier. La DGABE ne produit pas les états trimestriels et les inventaires annuels des matériels et équipements durables affectés aux départements ministériels et aux Institutions. La DGABE ne procède pas à l’admission de tous les matériels roulants de l’Etat, notamment les véhicules des missions diplomatiques et consulaires. Des véhicules n’ont pas été retrouvés lors du contrôle physique dans la ville de Koulikoro. Des véhicules n’ont pas été retrouvés lors du contrôle physique dans la ville de Ségou. 4.Recommandations caduques ou sans objet. La DGABE n’organise pas l’approvisionnement des services publics en matériels et équipements roulants. La DGABE ne tient pas le sommier des parcs autos et motos de l’Etat conformément à son ordonnance de création. Le ministre de l’Economie et des Finances ne veille pas à l’élaboration des éléments de la politique en matière de gestion du patrimoine mobilier corporel. Correspondance particulière Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
TECHNIQUE DE PRODUCTION ET ANIMATION RADIOPHONIQUE : La radio Donko outille son personnelTECHNIQUE DE PRODUCTION ET ANIMATION RADIOPHONIQUE : La radio Donko outille son personnel
25/01/2023MEDIASLa direction de la radio Donko FM, émettant sur la fréquence 103.8 Mhz, a organisé du vendredi 20 au dimanche 22 janvier 2023 une session de formation à l’endroit de ses journalistes et animateurs. Cette session de formation de trois jours s’est tenue dans les locaux de la ladite radio sise à Kalabancoro-Sangha, non loin du « grabal ». Doté d’une maitrise parfaite en à la matière, le formateur Yaya Coulibaly affectueusement appelé ‘’ Yas Cool’’ a dispensé plusieurs modules théoriques de technique de production et d’animation radiophonique. Du début jusqu’à la fin de la session, Yas cool qui est aussi le directeur adjoint de la radio Baoulé et formateur des métiers radiophoniques aux radios rurales internationales, a démontré brillamment aux jeunes animateurs et journalistes les techniques de production et d’animation radiophonique. A savoir : comment préparer et présenter une production radiophonique ? Comment faire pour que la production puisse être appréciée par les auditeurs ?….. Les participants ont été également imprégnés au marketing des médias. En initiant cette première édition de session de formation à l’endroit de ses journalistes et animateurs, la direction de la radio Donko, ‘’ la voix du savoir’’, veut améliorer la qualité de ces productions. « La meilleure des ressources, c’est la source humaine. C’est pourquoi nous avons décidé d’initier cette session de formation afin de mieux outiller notre jeune personnel », a indiqué le Directeur général de la radio Donko, Salifou Cissé dit Babciss. Avant de poursuivre : « Si la radio a une ressource humaine de qualité, elle aura forcément des productions de qualité. C’est pourquoi nous avons initié cette session de formation. Une session que nous comptons perpétuer… ». La porte-parole des participants a remercié la Direction de la radio pour cette belle initiative. « Nous ne cesserons jamais de remercier la Direction de la radio pour avoir initier cette session de formation. Nous avons beaucoup appris et nous allons faire de très productions… », a indiqué Djénéba Diarra au nom de la dizaine de participants. Avant de remercier le formateur Yas cool pour la grande qualité de la formation. Et quant au formateur, il s’est dit très comblé de l’engagement du personnel de la radio Donko à mieux se perfectionner. « Je suis un formateur très comblé par cette jeune équipe de la radio Donko très soucieuse de se perfectionner. Tous mes encouragements au jeune Directeur Salifou Cissé », a conclu Yaya Coulibaly. Cette session de formation a été sanctionnée par la remise des attestations aux participants par le Président-Directeur Général de la radio Donko, Moussa Cissé. Agoumour Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
Mouvement d’humeur des travailleurs de la mine de Sadiola SEMOS-SA : FER-Mali dénonce la violation du Code minier par les sociétés minièresMouvement d’humeur des travailleurs de la mine de Sadiola SEMOS-SA : FER-Mali dénonce la violation du Code minier par les sociétés minières
25/01/2023ECO & FINANCE / MEDIAS / SOCIETESuite à un mouvement d’humeur travailleurs de la mine de Sadiola SEMOS-SA, le Front pour l’Emergence et le Renouveau au Mali (FER-Mali) a, dans un communiqué dont nous avons pu nous procurer une copie, dénoncé le séjour prolongé des expatriés dans les postes stratégiques des sociétés minières au Mali, une pratique qui, selon l’organisation, viole le Code minier en vigueur au Mali. A l’entame, le Front Pour l’Emergence et le Renouveau du Mali dit avoir suivi avec beaucoup d’intérêt la révolte des travailleurs de la SEMOS-SA qui réclament plus d’attention de la part de leur direction et des autorités publiques du Mali. Ainsi, FER-Mali a saisi l’occasion pour rappeler qu’il avait pourtant dénoncé depuis plus d’une année la présence injustifiée et injustifiable des expatriés dans les mines du Mali à des postes que les maliens peuvent occuper. Et d’ajouter que cette présence des expatriés dans les mines du Mali est non seulement criminelle mais viole également Code minier malien Mali et du code minier dont constitue une véritable atteinte aux intérêts du Peuple malien et un frein à notre souveraineté nationale. Pour éviter des mouvements d’humeur dans les autres mines du Mali, FER-Mali demande que tous les expatriés qui ont plus de quatre ans au Mali et ceux qui occupent des postes pour lesquels nous avons des compétences nationales soient remplacés sans délai par les Maliens. Aussi, FER-Mali demande aux syndicats de rester mobilisés et vigilants pour l’intérêt du Mali et des maliens. Pour finir, FER-Mali renouvelle son soutien aux syndicats des travailleurs dans les mines du Mali pour plus de justice sociale. Car, l’Or du Mali doit davantage briller pour les maliens. Mama PAGA Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn [...]
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