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Jour : 17/02/2021

Justice 

Affaire des bérets rouges : le Général Sanogo bientôt à la barre !

17/02/2021 Journal HOGON Aucun commentaire

En principe, l’affaire dite des bérets rouges qui implique le général Amadou Aya Sanogo et autres sera inscrite au rôle

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ECO & FINANCE SOCIETE 

Emploi : le Mali pêche les expériences de la diaspora !

17/02/2021 Journal HOGON Aucun commentaire

Une conférence de haut niveau pour la mobilisation des compétences de la diaspora pour l’emploi au Mali s’est tenue du

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POINT DE VUE 

Dicko : le Mali ne se rendra jamais

17/02/2021 Journal HOGON Aucun commentaire

Si la guerre contre les terroristes va durer 100 ans, on le fera. Imam, le Mali et les Maliens ne

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Humeur 

Quand l’imam troque la khutba contre un manifeste !

17/02/2021 Journal HOGON Aucun commentaire

Dans la tradition musulmane au Mali, un imam se fait distinguer par sa khutba, ce sermon du vendredi avant les

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MEDIAS 

Kidal : la double facette de la CMA !

17/02/2021 Journal HOGON Aucun commentaire

Peu à peu, Kidal, la capitale des Ifoghas, respire le Mali, l’ensemble national. Après la visite d’une délégation ministérielle le

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POLITIQUE 

REFORMES POLITIQUES ET INSTITUTIONNELLES : EPM en quête d’une position harmonisée

17/02/2021 Journal HOGON Aucun commentaire

 Les partis de l’alliance EPM (Ensemble Pour le Mali) ont organisé une journée de réflexion en vue d’adapter leur contribution

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MEDIAS 

G5-sahel : Les décisions du sommet de N’Djamena !

17/02/202116/02/2021 fasomali Aucun commentaire

La 7ème session ordinaire de la Conférence des Chefs d’État du G5 Sahel s’est tenue le 15 février 2021 à

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Justice 

Affaire Ras Bath et co-accusés devant la chambre d’accusation de la cour d’Appel : L’Avocat général reconnait la nullité de la procédure, le délibéré prévu le mardi prochain

17/02/202116/02/2021 fasomali Aucun commentaire

La Chambre d’accusation s’est prononcée hier, mardi 16 février 2021, sur le dossier dit « déstabilisation » des institutions de la République

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MEDIAS POLITIQUE 

Pour exiger des autorités transitoires le vrai changement : Le M5-RFP en meeting ce dimanche au Palais de la Culture

17/02/202116/02/2021 fasomali Aucun commentaire

Le mouvement du 5 juin-rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP) organise, le dimanche 21 février 2021, un géant meeting au Palais

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SOCIETE 

Commissariat de police du 16ème arrondissement : La bande de Bakarin hors d’état de nuire

17/02/202116/02/2021 fasomali Aucun commentaire

Résolument engagés à lutter contre l’insécurité sous toutes ses formes, les éléments du Commissariat de police du 16ème arrondissement dirigés

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09/02 18:00 Sikasso : élection d'un nouveau président de la Fédération nationale des producteurs d'huile et d'aliments bétails : M. Mamadou Ouattara a été élu a la tête d'un bureau consensuel pour trois ans. 5e congrès extraordinaire
https://youtu.be/bGhyWVUC7XU

EDITORIAL

Edito : Imam et Homme politique !
Editorial 

Edito : Imam et Homme politique !

11/02/2021 fasomali 0

Avec la publication, ce vendredi 05 février, de son fameux document intitulé « Manifeste pour la refondation du Mali », l’Imam Mahmoud

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Edito : Triste réalité !
Editorial 

Edito : Triste réalité !

27/01/2021 Journal Le Pélican 0
EDITO : Haro sur la chasse aux sorcières !
Editorial 

EDITO : Haro sur la chasse aux sorcières !

14/01/2021 ledemocratre Mali 0
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MEDIAS

    • L’avenir de l’URD après le décès de son président : Me Demba Traoré rassure l’unité du parti et la continuité du combat de Soumaïla CisséL’avenir de l’URD après le décès de son président : Me Demba Traoré rassure l’unité du parti et la continuité du combat de Soumaïla Cissé
      26/02/2021MEDIAS / POLITIQUELe secrétaire à la communication, et porte-parole de l’Union pour la République et la Démocratie (URD), Me Demba Traoré, était sur la radio Peace FM. Il a profité de cette première sortie médiatique après le décès de Soumaïla Cissé pour réitérer l’engagement du parti à continuer le combat de son défunt leader pour un Mali meilleur. Soumaïla Cissé, l’emblématique chef de file de l’opposition, s’en est allé pour toujours. Mais son combat pour un Mali meilleur ne sera pas abandonné. Sa mémoire sera honorée. C’est du moins l’assurance qu’a donné son parti, l’URD, à travers son porte-parole, Me Demba Traoré. En plus d’être un cadre valeureux, intelligent et expérimenté, Soumaïla Cissé avait un grand parti politique bien structuré. Il avait une équipe de cadres compétents qui l’accompagnaient depuis la création de l’URD. Eh oui, il a quitté ce monde, laissant le parti dans des mains sûres, avec des cadres responsables, capables de porter le projet dont il a souhaité la réalisation, pour lequel il s’est battu à bras le corps. L’URD ne mourra pas. L’entente y restera et le combat de son président ne sera pas abandonné. C’est en tout cas c’est qu’a promis le porte-parole du parti, Me Demba Traoré, sur une radio de la place. A l’entame de ses propos, il a d’abord, salué la solidarité des Maliens envers l’URD et la famille de Soumaïla Cissé suite à son enlèvement en mars 2020 et suite à son rappel à Dieu. Ensuite, il a réitéré la volonté des dirigeants et militants de l’URD d’honorer la mémoire de l’honorable Soumaïla Cissé en continuant, nuit et jour, son combat pour un Mali développé et uni. Pour lui, continuer le combat de leur président est une obligation pour les militants et sympathisants de l’URD. « Quand nous rappelons de ce que notre défunt président nous disait, nous n’avons pas droit à baisser le bras. Nous devons travailler pour l’honorer. Nous sommes condamnés à continuer le combat de Soumaïla Cissé », a déclaré Me Demba Traoré. Ce n’est pas tout, l’entente et l’unité au sein du parti seront, selon son porte-parole, le combat des dirigeants. C’est d’ailleurs, en croire Me Demba Traoré, cet appel que le vice-président du parti, le professeur Salikou Sanogo, fait depuis son premier communiqué après les 40 jours du décès de Soumaïla Cissé. Pour Demba Traoré, Soumaila Cissé qui a consacré toute sa vie à la construction d’un Mali meilleur, d’une Afrique meilleure, avait des ambitions et projets pour le Mali, pour l’avenir radieux des Maliens. Tout cela ne tombera pas dans l’oubli, selon l’avocat. Son parti, l’URD, qui dispose de cadres valables, continuera son combat. « Soumaïla Cissé a toujours souhaité que son équipe continue son combat pour le Mali, même à son absence », a-t-il laissé entendre. Pour cela, Me Demba a invité tous les militants de son parti à l’union. Il ainsi appelé les Maliens à avoir confiance en l’URD, à ses projets pour un Mali meilleur. Cette 1ère sortie a été l’occasion pour Me Demba Traoré de se prononcer sur l’actualité nationale. Il a profité de l’occasion pour préciser la position de l’URD sur certains sujets, dont le CNT. A ce niveau, il a indiqué que ceux de l’URD qui sont dans le CNT ne le sont pas au nom du parti. Boureima Guindo Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn...
    • Dioncoulané dans le cercle de Yélimané : Les autorités appelées à éviter un affrontement entre populationsDioncoulané dans le cercle de Yélimané : Les autorités appelées à éviter un affrontement entre populations
      26/02/2021MEDIAS / SOCIETEDans le but d’éviter le chaos dans le village de Dioncoulané pour une histoire de gestion des adductions d’eau potable, l’Association des bénéficiaires et Usagers des adductions d’eau potable de Dioncoulané a organisé le week-end dernier une conférence de presse à Yélimané, pour interpeler les autorités à prendre urgemment des dispositions enfin d’éviter une guerre civile dans le village de Dioncoulané. Cette conférence était présidée par le président de l’Association des Bénéficiaires de Dioncoulané, Issouf Samassa, en présence de plusieurs membres de l’Association. Suite à des difficultés d’approvisionnement en eau de qualité, exprimées par les populations du village de Dioncoulané, les ressortissants résidents en occident, particulièrement en France et aux USA, ont décidé de doter leur communauté en infrastructure d’adduction d’eau potable. Ainsi, regroupés au sein d’une association dénommée Association de Solidarité pour le Développement de Dioncoulané Kantara (ASDDK) France, ils ont, par des cotisations internes, mobilisé environ 900 000 000 de FCFA et réalisé le projet courant l’année 2002 avec l’appui technique d’un certain M. Bernard PORK de la SAGEP à Paris (France). Puis, en 2003, l’ASDDK France décide de mettre en place une association locale analogue, l’Association de Solidarité pour le Développement de Dioncoulané Kantara(ASDDK) dans le village d’origine, Dioncoulané, dans le Cercle de Yelimané. A sa création, un Comité de Gestion est mis en place par les donateurs de France de l’Adduction d’Eau Potable (AEP), composé des membres du Bureau de l’ASDDK Dioncoulané, dirigé par Moriba Soukouna. Selon Issouf Samassa, président de l’Association des Bénéficiaires de Dioncoulané, en 2016, suite à une crise de gouvernance dans le Comité de Gestion et à une longue absence de son président pour des raisons de santé, le Président de l’ASDDK France, de sa propre initiative et sans consultation des membres de son association, destitue Moriba Soukouna de la tête de la structure et le remplace par Abdoulaye Soukouna Alors, certains conseillers du chef de village, alertés par le président limogé pour mauvaise gestion du fond social de l’AEP, approchent le Comité de Gestion en vue d’en vérifier les comptes. Cependant, après plusieurs demandes infructueuses, un Collectif de Conseillers du Chef de village de Dioncoulané adresse une demande d’explication au nouveau Président aux fins de rendre compte de la gestion de l’AEP. Mais, face à son refus d’y répondre favorablement, une plainte est déposée par ledit Collectif auprès du Procureur de la République près le Tribunal d’Instance de Yelimané. Classée sans suite, elle est renouvelée avec Constitution de partie civile auprès du Cabinet du Juge d’Instruction qui décide de ne pas informer pour des raisons que nous ignorons, selon le conférencier. Par la suite, courant 2017, à la demande expresse et sur insistance des membres de l’association, le président de l’ASDDK France confie au cabinet Fiduciaire Africaine d’Audit, de Conseil, d’Informatique et de Management (FAACIM) Sarl/LTD la réalisation d’un audit des comptes et rapports de suivis financiers du Projet d’adduction d’eau pour les exercices allant de 2003 à 2016, ainsi que les états des mouvements de trésorerie pour les exercice clos au 31 décembre de chaque exercice annuel. Un premier rapport dit Provisoire est présenté à l’association par l’expert en juin 2017, suivi d’un Rapport définitif en septembre 2017. Le rapport du cabinet FAACIM fait ressortir un détournement de 169 988 350 FCFA retirés du compte BDM de l’AEP par les responsables du Comité de Gestion dans la période allant de 2003 à 2016, Selon toujours lui, c’est suite à la disparition du fonds que l’Association (ASDDK) du Mali a décidé de suspendre toutes les activités du comité et demande au maire d’intervenir au plus vite possible. C’est ainsi le maire a adressé une demande au ministre en charge de l’eau afin de prendre des dispositions. Le ministre en son tour a ordonné la Mairie de ladite localité de gérer l’eau en attendant la mise en place d’un nouveau comité. Malgré la décision du ministre, l’ancien comité refuse de céder la gestion à la Mairie. « Cela risque d’un affrontement entre les deux camps, car les villageois refusent de payer l’eau au comité et le comité à son tour ne veut pas céder la gestion à la Mairie. La guerre est inévitable, nous demandons aux plus hautes autorités d’intervenir au plus vite possible pour éviter le chaos dans le village », a-t-il précisé. Yaya Kanitao, correspondance particulière Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn...
    • Ségou : Les capacités de 120 acteurs renforcées sur la mise en œuvre du DDRSégou : Les capacités de 120 acteurs renforcées sur la mise en œuvre du DDR
      26/02/2021MEDIAS / SOCIETELa capitale des Balazans, Ségou, a abrité du 16 au 19 février 2021, un atelier de renforcement des capacités sur la mise en œuvre du DDR des ex-combattants. Cet atelier de haut niveau a été organisé par la Commission Nationale de DDR (CNDDR) en partenariat avec la Division de Réforme du Secteur de la Sécurité – Désarmement, Démobilisation et Réinsertion (RSS-DDR) de la MINUSMA. Près de 120 acteurs du processus du DDR ont pris part à cet atelier de renforcement des capacités. En raison du nombre important de participants et de la nécessité du moment de respecter les mesures barrières contre la Covid-19, cet atelier de haut niveau s’est déroulé en deux étapes, principalement du 16 au 18 et du 18 et 19 février. Selon la MINUSMA, les thématiques développées au cour de ces quatre jours des travaux sont entre autres : la stratégie de DDR-intégration dans la RSS pour la période de transition, conformément à la Feuille de route actualisée du 18 décembre 2020 ; la réinsertion socio-économique pilotée par le Programme de réinsertion socio-économique des ex-combattants (PREC) et son démarrage ; les projets de réduction de violences communautaires (RVC) de RSS-DDR MINUSMA et du PREC ; l’Accord pour la Paix et les atouts, défis et perspectives de relance du processus DDR, ainsi que la problématique de la mise en œuvre du Programme de réhabilitation communautaire au centre (PRC). Au côté de la CNDDR et de la Commission Nationale d’Intégration (CNI), cet atelier a vu la participation, du Ministère de la Réconciliation nationale et de la Cohésion sociale, du Comité de Suivi de l’Accord (CSA), du Commissariat à la Réforme du Secteur de la Sécurité (C-RSS), de l’Etat-Major général des Armées, des Représentants des Mouvements signataires et ceux de l’inclusivité, le Secrétariat permanent du Haut Représentant du Président de la République pour la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation, et de la MINUSMA, ainsi que des représentants de la MINUSMA par vidéo-conférence. Selon la MINUSMA, son appui au processus de RSS et du DDR, s’inscrit dans les tâches prioritaires de la Résolution 2531 (2020) du Conseil de sécurité parallèlement à son soutien à la mise en œuvre de l’Accord pour la Paix et de la Réconciliation au Mali signé en 2015. Tout en rappelant les acquis de la Feuille de route actualisée du 18 décembre 2020, en faveur de la mise en œuvre de l’Accord pendant la période de transition, le Ministre de la Réconciliation nationale, le Colonel-major Ismaël WAGUE souhaite que les recommandations formulées fassent l’objet d’une large restitution et de mise en œuvre effective et diligente par les Parties à l’Accord. Issa Djiguiba Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn...
    • Les piques de Me Mohamed Ali Bathily à certains leaders religieux : « On cherche la popularité avec le nom de Dieu pour en faire un fonds de commerce auprès du pouvoir »Les piques de Me Mohamed Ali Bathily à certains leaders religieux : « On cherche la popularité avec le nom de Dieu pour en faire un fonds de commerce auprès du pouvoir »
      25/02/2021MEDIASL’ancien ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des sceaux, Me Mohamed Ali Bathily a profité du meeting du M5-RFP pour jeter les pierres dans le jardin de certains leaders religieux qui, selon lui, cherchent la popularité au nom de Dieu pour en faire un fonds de commerce. Il a également révélé comment les colonels de l’ex CNSP ont fait sortir les proches d’IBK du Mali. Démolition des maisons dans la zone aéroportuaire ; corruption au Mal ; comportement peu orthodoxe de certains leaders religieux ; comment certains proches d’IBK ont quitté le Mali… Me Mohamed Ali Bathily s’est prononcé sur tous ces sujets lors du meeting du M5-RFP. S’agissant de la démolition des maisons dans la zone aéroportuaire, même si Me Bathily a exprimé sa solidarité aux victimes, il affirme les avoir prévenus avant même la construction. Les premiers fautifs dans cette affaire, selon lui, ce sont les maires qui ont vendu la parcelle aux citoyens sachant que c’est la zone aéroportuaire. « Qui a vendu ces parcelles ? », se demande Me Mohamed Bathily qui s’est attaqué au maire du district de Bamako, Adama Sangaré, et au commandant Ibrahim Sylla. « Adama Sangaré a vendu tout le Mali et est chez lui toujours. Le commandant Ibrahim Sylla a vendu tout le Mali et est chez lui », a déclaré le président des APM. Le gouvernement, selon le parolier, est aussi fautif pour son laxisme et impunité envers ceux qui ont vendu les parcelles de la zone aéroportuaire aux citoyens. « Les maires qui les ont vendus sont où ? Ils dorment chez eux. Pourquoi ne pas les arrêter. C’est la corruption qui explique tout cela. Les dessous de table qui ont tué la justice malienne », a fustigé l’ancien ministre de la Justice et des Droits. Bathily tacle certains leaders religieux Pour Me Bathily, certains leaders religieux ont contribué à la pourriture de la situation du pays. Ils se cachent, selon lui, derrière la religion, pour bien corrompre les gouvernants. « Qu’est ce qui a créé de problème entre nous et certains leaders religieux ? », s’interroge Me Bathily qui affirment que ces leaders utilisent la religion pour rassembler les gens afin de prendre leur pouvoir et le vendre aux autorités tu pays. A l’en croire Me Bathily, ces leaders religieux profitent de leur statut pour négocier des marchés et des postes à leurs proches. « Il est temps qu’on dise la vérité. Dieu ne nous a pas dit ça : rassembler les gens au nom de Dieu et en faire un fonds de commerce. C’est ce qui est beaucoup développé chez nous dans les années précédentes. On cherche la popularité avec le nom de Dieu pour en faire un fonds de commerce auprès du pouvoir », a dénoncé Ras Bath père. Comment les colonels ont fait fuir les proches d’IBK Ce grand meeting du M5-RFP a été l’occasion pour Me Bathily de dénoncer les complicités entre les ex-putschistes et certains barons du régime IBK. L’avocat inscrit au barreau du Mali a même accusé les militaires d’être avec « les corrompus ». Pour lui, ceux des proches d’IBK qui ont quitté le pays au lendemain du coup d’État, l’ont fait sous la complicité des colonels au pouvoir. « C’est eux qui ont fait sortir les proches d’IBK pendant le couvre-feu. Ils ont fermé les portes devant nous sous prétexte du couvre-feu et les ont fait sortir. Ils étaient tous au Mali quand IBK tombait, ne sont-ils pas tous sortis. Ce n’était pas un couvre-feu mais une manière de faire fuir ceux dont ils sont en mission ici », a révélé l’ancien ministre des domaines de l’État et des Affaires foncières. Boureima Guindo Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn...
    • 22ème session du Conseil d’Administration de la CANAM : Le budget 2021 fixé à 75.063.000.000 F CFA22ème session du Conseil d’Administration de la CANAM : Le budget 2021 fixé à 75.063.000.000 F CFA
      25/02/2021ECO & FINANCE / MEDIASLa 22ème session ordinaire du Conseil d’Administration de la Caisse nationale d’assurance maladie (CANAM) s’est tenue le mercredi 24 février 2021, au Conseil National du Patronat du Mali. L’occasion pour le PCA, Pr Mamady Koné d’annoncer le projet du budget 2021 qui se chiffre à 75.063.000.000 F CFA. « Le projet du budget 2021 se chiffre en recette et en dépense à la somme de 75.063.000.000 F CFA, contre 67.140.000.000 CFA en 2020, soit un accroissement de 11,80% », a indiqué, dans son discours, Mamady Koné, président du Conseil d’Administration de la CANAM. Et le montant des dépenses techniques s’élève à 52.414.537.841 CFA, soit 69,83% des dépenses totales. Il a également laissé entendre des dépenses techniques a connu une variation entre 2020 et 2021 de 11,12%. A cet effet, les dépenses d’investissements et d’équipements se chiffrent à 4.906.252.039F cette année, soit 6,54% des dépenses totales, contre 2.785.900.330 F CFA, soit une augmentation de 76,11%. Courant cette année, les dépenses de fonctionnement se sont estimées à 17.182.759.767 F CFA. Alors que celles de 2020 étaient estimées à 17.182.759.767 F CFA, soit une augmentation de 3,26% cette année, confie le président du conseil d’Administration. D’après lui, la présente 22ème session visait à examiner et adopter le procès-verbal de la 21ème session ordinaire du conseil d’administration ; l’état de mise en œuvre des recommandations issues de la 21ème session ; le rapport d’activités du 30 novembre 2020 en plus de l’état d’exécution du budget du 30 novembre ; le programme d’activités et le projet de budget de l’exercice 2021. Se penchant sur les activités de 2020, le président du conseil a confié que 311.500 carnets de feuilles de soins ont été acquis en 2020, en plus de 150 cachets secs pour des prestataires. Huit (8) rencontres des commissions paritaires entre la CANAM et les structures conventionnées ont été enregistrées ; 125.414 personnes ont été enrôlées du 1er janvier au 30 novembre 2020.Ce qui, selon le professeur, a porté le nombre total des personnes enrôlées biométriques à 1.085.792 à la date du 30 novembre 2020.Quant aux contraintes et difficultés rencontrées lors de la mise en œuvre du programme d’activités de 2020,Mamady Koné a mis l’accent sur l’impact du de la covid-19 ; la non-adhésion des travailleurs de banques et de la société de téléphonie Télecel à l’AMO ; le retard dans l’immatriculation et la production des cartes des assurés dus à l’attente de la bascule vers le système d’information biométrique de type Web service (ACTIV PREMIUM) ; l’insuffisance de l’effectif pour les opérations d’immatriculation et de distribution des cartes des assurés… À ce titre, le montant des recettes mobilisées en 2020 par la CANAM s’élève à 56.170.209.677 FCFA. Ce, ajoute le président, avec un taux de réalisation d’environ 84% par rapport au montant annuel prévu qui se chiffrait à 67.140.000.000F en 2020.Courant l’année dernière, les cotisations AMO reversées par les organismes gestionnaires délégués (INPS, CMSS) se sont chiffrées à 54.850.250.958, soit un taux de réalisation d’environ 84%, ressort dans le discours. Avec un taux d’exécution d’environ 89%, poursuit le responsable, les dépenses ont été, en date du 30 novembre 2020, liquidées à hauteur de 59.522.212.677 F. Quant aux dépenses techniques liquidées, elles s’élèvent à 46.889.397.944, soit un taux d’exécution de 98%. Et de préciser que le montant alloué aux OGD (CMSS et INPS) au titre de leur dotation technique se chiffre à 41.500.000.000, soit un taux d’exécution de 102%. Aux dires du président du présent conseil, les allocations des dotations administratives des OGD s’élèvent à 3.911.417.510 F, soit un taux d’exécution de 100,29%.Les dépenses d’investissement et d’équipement ont été liquidées à hauteur de 730.207.660F, soit un taux d’exécution de 32%.Tirant profit de cette 22ème session, l’intervenant tenait à clarifier que les dépenses de fonctionnement liquidées en 2020 ont été estimées à 11.902.607.073 FCFA, soit un taux d’exécution de 69%.Et le président Koné de maintenir que le programme d’activités de la CANAM vise, entre autres : à l’opérationnalisation du régime d’assurance maladie universelle (RAMU) ; l’évaluation du régime de l’assurance maladie obligatoire (AMO) ; la poursuite de la mise en œuvre du système d’information biométrique intégré de type Web service ; le renforcement des opérations d’immatriculation ; l’amélioration du parcours des assurés au sein de l’établissement conventionnés… Mamadou Diarra Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn...
    • Réformes politiques et institutionnelles : La fondation Tuwindi et ses partenaires prêts à proposer une nouvelle constitution aux autoritésRéformes politiques et institutionnelles : La fondation Tuwindi et ses partenaires prêts à proposer une nouvelle constitution aux autorités
      25/02/2021MEDIASLa fondation Tuwindi, en partenariat avec l’AJCAD, l’Observatoire pour les élections et la bonne gouvernance au Mali et Doniblog, a organisé du 24 au 26 février 2021, un « atelier de Co-construction de la 4e République ». Ouvert le 24 février au grand hôtel de Bamako, cet atelier travaillera durant 3 jours, pour développer une proportion de constitution qui reflètera mieux l’opinion nationale du Mali. Les initiateurs offrent cette réflexion comme contribution aux efforts de recherches d’une solution de sortie définitive de la crise malienne.   Afin de développer une proportion citoyenne de constitution qui reflèterait mieux l’opinion nationale, les recommandations de cet atelier seront, selon les initiateurs, soumises aux autorités de la transition comme contribution à l’effort de construction des reformes en cours. Selon les organisateurs, l’objectif de cette réflexion est de corriger les lacunes de la constitution du 25 février 1992 « à la lumière des travaux effectués lors des tentatives de modification entreprises par les présidents Alpha Oumar Konaré, Amadou Toumani Touré, Ibrahim Boubacar Keita et au regard des réalités actuelles pour proposer un prototype de ce qui pourrait être la prochaine constitution du Mali », a indiqué Tidiani Togola, coordinateur de la fondation Tuwindi. A croire les organisateurs, c’est l’ensemble des forces vives de la nation qui prennent part à cet atelier, notamment les ONG, les médias, les acteurs politiques, les autorités coutumières et étatiques. Tidiani Togola, informaticien en État, n’a pas manqué de comparer le Mali à un ordinateur dont le système d’exploitation n’est pas compatible avec les logiciels proposés. « Si notre pays était un super ordinateur, son système d’exploitation serait sans aucun doute la constitution et les autres logiciels métiers facilitant la réalisation des taches opérationnelles des utilisateurs, des textes législatifs et règlementaires et le peuple souverain du Mali serait alors celui dont le génie créateur a mis en place cet ensemble cohérant et parfaitement compatible au profit de ses enfants » a-t-il fait allusion. Donc, il faut, selon lui, un nouveau logiciel qui répondra aux attentes des utilisateurs, tout en précisant que « notre atelier n’a point la prétention de développer ce logiciel. Nous voulons humblement contribuer à développer son prototype selon une démarche participative basée sur la collaboration franche   et cordial ». Ce travail tiendra également compte, selon lui, des propositions pour un nouveau code électoral pour faciliter un retour rapide de l’état de droit. Pour Malik Ibrahim, conseiller de la Cour constitutionnelle, présent à la cérémonie, la révision constitutionnelle et les modifications des lois électorales sont des chantiers tellement importants qu’elles doivent être portées par l’ensemble des acteurs de la nation mais au premier chef, les partis politiques et les institutions. « Un pays moderne ne peut pas se construire sans l’accompagnement et l’apport des partis politiques et les institutions » a-t-il indiqué en invitant, à être cette fois-ci, cohérant : « s’il vous plait, n’empruntons pas les chemins biaisés. Réfléchissons ensemble, parlons véritablement, sincèrement et agissons en toute vérité » a-t-il mis en garde. Tout en se réjouissant de cette initiative qui est « patriotique », Dr Abdoulaye Sall, coordinateur du comité de pilotage a rappelé les principes intangibles sans lesquels il ne peut exister un Etat de droit. Parmi ces principes, Dr Sall a cité entre autres : les conditions d’accessions au pouvoir. « Il n’y a pas mille manières d’accéder au pouvoir si ce n‘est par des élections » a-t-il souligné. Selon lui, Il n’y a pas d’État sans une constitution qui prend en compte : « le fondement politique, juridique, institutionnel, économique, social, culturel, environnemental de l’état ». Mais avant cette phase se trouve la question du referendum : « Le défi qui se pose au Mali aujourd’hui, c’est de tomber d’accord sur un modèle de constitution comme le nom la révision constitutionnelle ». Selon lui, c’est le consensus sur un modèle de constitution qui permettra de sortir le Mali de ce régime d’exception ». Sur ce point, Dr Sall a souligné l’importance de la différence du referendum aux autres types d’élections. En conclusion, le docteur a souligné que l’expérience que le Mali vit aujourd’hui peut être bénéfique pour améliorer les reformes dont il souhaite. A ses dires, la Charte de la transition adoptée en Aout dernier a souhaité de mentionner les valeurs et principes qui ne figuraient pas dans la constitution Issa Djiguiba Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn...
    • Ministère des Transports et des Infrastructures : Me Baber Gano sommé de restituer les véhicules du départementMinistère des Transports et des Infrastructures : Me Baber Gano sommé de restituer les véhicules du département
      24/02/2021MEDIAS / SOCIETELe forfait de période de grâce accordé au Ministre des Transports et des Infrastructures, Makan Fily Dabo semble être épuisé. En tous cas, les différentes récriminations de la Section nationale des transports d’Etat (SNTE) attestent éloquemment cette situation. En effet, dans une correspondance adressée au ministre des Transports et des Infrastructures, dont nous avons pu nous procurer une copie, le syndicat exige la restitution des véhicules du département encore en possession de l’ancien ministre des Transports et de la Mobilité urbaine, Baber Gano. Aussi, dans une seconde correspondance, le syndicat dénonce la baisse des salaires et avantages de certains agents en violation de tous les textes en vigueur. Pour se faire entendre, l’organisation syndicale envisage d’organiser une assemblée générale pour valider le préavis de grève de sept jours. A l’entame, la correspondance portée à la connaissance de l’actuel ministre en charge des Transports que deux des véhicules du département restent toujours en possession de l’ancien ministre des Transports et de la Mobilité urbaine et non moins secrétaire général du Rassemblement pour le Mali (RPM), Baber Gano. Il s’agit des véhicules immaculés BA 57 81 MD (N° de Série MR 2 BJ 9F 3101026895, marque Toyota Yaris, acquis en 2017) et BA 57 82 MD (N° de Série JTMHVO21504226103, Marque Toyota V8 Station Wagon, acquis en 2017). En effet, poursuit la correspondance, ces véhicules avaient été mis à la disposition du ministre Gano, exclusivement, pour les besoins du service. « Ainsi, nous vous demandons de bien vouloir prendre les dispositions nécessaires pour récupérer lesdits véhicules afin de les mettre à la disposition de la Direction nationale des Transports Terrestres, Maritimes et Fluviaux », peut-on lire dans la correspondance. Toutefois, le syndicat se réserve le droit d’engager les procédures qui s’imposent afin de pouvoir rentrer en possession des véhicules mentionnés ci-dessus. Ainsi, dans une seconde correspondance toujours adressée au ministre des Transports et des Infrastructures, le Secrétaire général de la Section nationale des transports d’Etat (SNTE) exprime ses préoccupations suite à la baisse du salaire et des avantages accordés au personnel des Entrepôts maliens dans les ports de transit en violation de tous les textes en vigueur. « Nous sollicitons votre implication personnelle afin de sursoir ou d’abandonner simplement l’application de cette décision qui, de notre point de vue, est de nature à compromettre des acquis dans le cadre de l’amélioration des conditions de vie des travailleurs, et par conséquent leur rendement au travail », mentionne la correspondance. Par ailleurs, le syndicat demande de même pour l’exécution de la grosse de la Cour suprême dont bénéficient certains collègues dans le cadre du différend qui les opposaient au service. Aussi, la section syndicale dénonce le silence du ministre de tutelle face au détournement des biens de l’état par l’ancien ministre Baber Gano ce malgré les nombreuses correspondances de rappel. « Toutes nos correspondances sont restées lettres mortes sur la table du ministre en charge des Transports », a laissé entendre le secrétaire général du syndicat, Oumar Niaré. Face à toutes ces situations relatives au bradage des biens du département au profit de l’ancien ministre Gano et à la baisse des salaires en violation des dispositions réglementaires et législatives, le syndicat a décidé de tenir une assemblée générale dans les tous prochains jours pour dénoncer ces différentes injustices et pour valider éventuellement le préavis de grève de sept jours. Dans son réquisitoire, le syndicat dénonce également la violation des lois de la République par le ministre des Transports et des Infrastructures, la Directrice générale de l’Agence nationale pour la sécurité routière (ANASER) et certains membres du cabinet de la Présidence de la République. Mama PAGA Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn...
    • Boubacar Yalkoué, membre du CDR sur l’affaire de « déstabilisation » de la Transition : « Le jugement a été renvoyé uniquement pour des raisons politiques »Boubacar Yalkoué, membre du CDR sur l’affaire de « déstabilisation » de la Transition : « Le jugement a été renvoyé uniquement pour des raisons politiques »
      24/02/2021MEDIAS / POINT DE VUELa cour d’appel de Bamako a rabattu le délibéré de l’affaire de « déstabilisation » de la transition et ordonné la réouverture des débats au cours d’une nouvelle audience prévue pour le 2 mars prochain. Les motifs avancés : la mutation des juges en charge du dossier cités par la chambre d’accusation. Ce qui ne convainc pas le secrétaire administratif du CDR, Boubacar Yalkoué qui a indiqué que « le jugement a été renvoyé uniquement pour des raisons politiques ».   Le secrétaire administratif du bureau national du collectif pour le développement de la république (CDR), M. Boubacar Yalkoué a indiqué « qu’aucune raison ne peut justifier ce nouveau renvoi de l’affaire de déstabilisation de la transition si ce n’est pas politique ». Selon lui, les juges avaient été déjà notifiés de leur mutation bien avant que l’affaire ne soit à la chambre d’accusation de la Cour d’Appel. En effet, « pourquoi le gouvernement a permis à ces juges d’ouvrir les débats à la chambre d’accusation de la cour sachant qu’ils avaient été déjà mutés ? » s’est-il posé la question. Au-delà de cette interrogation, M. Yalkoué a rappelé qu’une mutation respecte tout un processus, d’où le temps nécessaire pour le gouvernement de savoir si ces juges avaient la capacité ou non de terminer ce procès. Pour lui, ce sujet est si sensible qu’il est inconcevable de permettre aux juges d’ouvrir les débats sur ladite affaire et évoquer leur non compétence juste au moment du délibéré. Cela, selon lui, est une preuve que le gouvernement veut contourner le débat fait sur ce dossier à la chambre d’accusation auxquels a pris part l’avocat général Alou Nampé dont la nullité de la procédure et la levée des mandats de dépôt avaient été demandées. Selon Boubacar Yalkoué, si les conclusions de cet entretien arrangeaient bien le gouvernement, il allait permettre à ces mêmes juges qui ont ouvert les débats de statuer sur le dossier. Mais comme ça ne les arrange pas, dit-il, le gouvernement cherche un autre moyen pour faire trainer l’affaire. Par conséquent, comme tel est le cas, selon lui, Boubacar Yalkoué le CDR emploiera tous les moyens possibles pour obtenir la libération de son porte-parole et coaccusés « on ne va pas faire les casses mais on va doubler la pression. Que ça soit sur le plan de la politique ou la justice on est prêt à tout » a-t-il indiqué en invitant l’ensemble des militants du CDR à rester debout et mobiliser. A l’en croire « tant qu’on ne dit pas la vérité sur cette affaire, on ne va pas baisser le bras. Qu’ils préparent des nouvelles places en prison. On n’a pas peur de la prison » a-t-il indiqué. Issa Djiguiba Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn...
    • Activités de change d’argent devant le siège de la BDM SA : Les acteurs dénoncent les « vols » d’argent par des policiers lors des interpellationsActivités de change d’argent devant le siège de la BDM SA : Les acteurs dénoncent les « vols » d’argent par des policiers lors des interpellations
      24/02/2021ECO & FINANCE / MEDIASSuite aux multiples interpellations qu’ils sont victimes au cours de cette activité de change d’argent devant le siège central de la BDM SA, les échangeurs de money étrangers ont manifesté leur frustration le lundi 22 février 2021. Ils dénoncent les saisies et souvent le vol de leur argent par les policiers pendant les interpellations. Ces échangeurs venus manifester leur frustration ont tout d’abord souligné qu’ils ne sont pas des voleurs ni des briguants. Ils ont indiqué qu’ils ont aussi entamé des démarches pour la régularisation de cette activité, mais compte tenu de la lenteur de l’administration malienne comme tout le monde le sait selon eux, cette initiative tarde à se concrétiser. Mais ils ont souligné que leur place est connue et que beaucoup d’entre eux ont déjà une carte avec toutes les adresses mentionnées pour permettre de les identifier. Concernant leur sortie du lundi, c’est pour manifester leur désolation selon eux, et condamner certains comportements des agents de la brigade d’intervention judiciaire (BIJ). Beaucoup de fois, depuis le mois de décembre passé selon eux, cette unité de la police nationale procède à des interpellations spontanées à leur place sans donner les raisons de cette opération. Mais le mal qu’ils ont le plus dénoncé dans cette opération est la saisie par ces policiers, de toute la liquidité d’argent se trouvant sur les personnes interpelées. Des sommes qui s’élèvent souvent à des millions de franc CFA représentants des dizaines d’années de travail, selon ces manifestants. Ils indiquent qu’en plus de l’argent saisie les échangeurs d’argent sont obligés de débourser encore beaucoup d’argent pour obtenir la libération de leurs camarades souvent transférés à la maison centrale d’arrêt (MCA). « Après beaucoup de démarches et de négociations, un de nos camarades déférés à la MCA a été libéré » a indiqué Sékou Camara, représentant du syndicat de cette activité devant la BDM SA, en ajoutant que « son sac contenant de l’argent ne lui a pas été restitué » a-t-il indiqué. Après le mois de décembre, les échangeurs ont indiqué d’autres opérations d’interpellation au cours d’une d’entre elles un policier a même retiré le sac d’un échangeur en train de fuir. Le sac contenait plus de six millions selon Sékou Camara qui souligne qu’après l’opération, ils ont engagé des démarches avec la famille de la personne concernée pour récupérer l’argent du monsieur. Aux dire de Sékou Camara le sac a été retrouvé mais sans argent. Les échangeurs d’argent ont interpelé toutes les autorités du Mali, plus particulièrement celles de la transition pour ce cas de « vol ». Selon eux, le Mali n’a pas besoin d’autres problèmes que ce qu’il vit déjà, « il ne faut pas créer d’autres foyers de tension au Mali », ont-ils indiqué avant de souligner qu’ils sont prêts à mourir pour se défendre et défendre la sueur de leur front. Ils ont rappelé qu’ils sont plus de cinq cent personnes (500), parmi lesquels des jeunes diplômés sans emploi qui gagnent leur vie dans cette activité. Pour eux, ils sont aussi des citoyens maliens comme tout le monde, « on aurait pu être des trafiquants, des briguant ou des bandits mais on a préféré de gagner dignement notre vie » ont-ils souligné. Issa Djiguiba Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn...
    • Conférence des chefs d’État de l’OHADA : Bah N’Daw, le nouveau présidentConférence des chefs d’État de l’OHADA : Bah N’Daw, le nouveau président
      24/02/2021MEDIASLe président de la Transition du Mali, Bah N’Daw, a officiellement entamé son mandat à la tête de la présidence de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (OHADA) le jeudi 18 février 2021, à Koulouba. Le président intérimaire Bah N’Daw assurera, pour l’année en cours, la présidence de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’OHADA, une organisation africaine. A cet effet, le ministre de la Justice, Mohamed Sidda Dicko, devient, lui-aussi, le président du Conseil des ministres de l’organisation. Courant jeudi 18 février, le nouveau mandat a été confié au président intérimaire et son ministre de la justice par le professeur Emmanuel Sibidi Darankoum, secrétaire permanant de l’organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires. Pour la circonstance, le Pr Emmanuel a déclaré : « Je suis venu présenter au président de la Transition le mandat qu’il assume désormais. Et par la même occasion, confirmer la présidence du conseil des ministres qui sera assurée par le ministre de la Justice ». Placé sous le signe « de la renaissance et de relever les grands défis pour replacer le Mali sur la voie de l’avenir, de la prospérité ; et de la réussite », ce mandat confié aux autorités transitoires bénéficiera, selon le Emmanuel, du soutien du secrétariat permanant de l’organisation. En sa qualité de secrétaire permanent, Emmanuel Sibidi s’est, profitant de la même occasion, aussi penché sur les missions assignées à Bah N’Daw. Il s’agira pour Bah N’daw, aux dires du Pr Emmanuel : « d’harmoniser, au cours de ce mandat, tout ce qui est entre nos mains et qui doit être harmonieusement conjugué pour permettre la réussite future du pays, parlant du G5 ; de l’espace OHADA ; et du continent ». Se fiant aux informations décrites sur la page du ministère de la Justice, la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement est l’organe politique de l’OHADA. De ce fait, il se réunit en cas de nécessité, afin de donner des impulsions et orientations générales décisives dans le processus de l’harmonisation du droit des affaires en Afrique. Quant au conseil des ministres désormais chapeauté par le ministre Dicko, il est l’organe délibérant ayant pour rôle de définir les orientations spécifiques, de programmer les activités ; voire d’autoriser le budget en contrôlant le fonctionnement des institutions, explique le département en charge de la justice au Mali. En plus, le conseil des ministres exercice le pouvoir normatif d’adoption des actes uniformes ; des règlements ; ou toute décision afférente à sa compétence. Ainsi, il convient de retenir que de nos jours, dix-sept (17) pays sont Etats membres de cette organisation africaine. Mamadou Diarra Source : LE PAYS Share this:WhatsAppTelegramFacebookTwitterLinkedIn...
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