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Promotion de l’entreprenariat : La 2ème édition de la Case de l’entrepreneur « Champion ’s Lab » lancée

La deuxième édition de la Case de l’entrepreneur « Champion’s Lab » a été lancée, le mardi 12 octobre 2021, dans un hôtel de la place. C’était au cours d’une conférence de presse, tenue pour la circonstance. Via l’évènement, il s’agit de créer un écosystème entrepreneurial favorable à travers la formation, la médiatisation et la promotion des jeunes entreprises maliennes.

Le lancement de cette deuxième édition était présidé par le promoteur de la Case de l’entrepreneur, Ander Baba Diarra, en compagnie d’Ada Ouologuem, coordinatrice, du représentant du maire de la commune IV du district de Bamako, Abdallah Yatara. Pour le promoteur Ander Baba Diarra, la Case de l’entrepreneur « Champion’S Lab » est une téléréalité destinée à la jeunesse qui entreprend. Il s’agit des jeunes ayant l’âge oscille entre 18 à 45 ans exerçant dans l’ombre, mais qui ont des difficultés pour accéder aux investisseurs, a-t-il clarifié. D’après lui, c’est un programme qui scelle le pont à deux entités que sont  les jeunes entrepreneurs et les financiers. Lesquels se trouvent dans deux mondes parallèles. Cette 2ème édition concerne une dizaine de domaines d’activités dont les secteurs de l’éducation, ceux de la santé, des énergies renouvelables… Comme autre innovation de cette 2ème édition, le promoteur parlera de la création du prix « Wara » (prix  lion en français) pour les jeunes. « Nous essayons d’intervenir entre les jeunes  par des formations. Nous lançons un appel à candidature. Une fois que les candidats s’inscrivent, ils passent par un jury d’experts qui analysera les candidats avant de retenir les 20 meilleurs que nous tenons sous nos ailes, pour des formations », a-t-il affirmé. Pour sa part, la coordinatrice Ada Ouologuem s’est exprimée sur la pertinence de l’activité. Aussi, elle a souligné que l’entrepreneuriat offre une alternative positive aux jeunes en leur évitant d’avoir des idéologies de violence et de division au sein de la société. Des pratiques auxquelles, souligne-t-elle, les jeunes peuvent se livrer lorsqu’ils ne voient pas d’avenir pour eux-mêmes.

Aïda Beïdy Soumaré

Source : LE PAYS

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