Adama Samassekou n’est plus : « le Comité de Pilotage du Dialogue Inter-maliens perd en sa personne une expertise avérée…»
Suite au rappel à Dieu de l’ancien ministre Adama Samassekou, le Comité de Pilotage du Dialogue Inter-maliens a fait un communiqué pour exprimer toute sa tristesse. Au de-là de sa famille, « le Comité de Pilotage du Dialogue Inter-maliens perd en sa personne une expertise avérée, un sage qui a une connaissance profonde du pays et de ses réalités contemporaines », lit-on dans un communiqué.
La fin de la semaine dernière sera sans nul doute un moment de triste souvenir pour la famille Samassekou et toute la nation Malienne. En effet, l’ancien ministre Adama Samassekou à l’instar de tous les grands combattants de l’histoire du monde, a définitivement et pour de bon déposé son arme. Au-delà de sa famille, c’est une perte pour de nombreuses autres personnes anonymes qui le pleurent.
En effet, le comité de pilotage du Dialogue direct inter-Maliens n’ayant pu contenir sa douleur l’a exprimé dans un communiqué. « Le Comité de pilotage perd en sa personne une expertise avérée, un sage qui a une connaissance profonde du pays et de ses réalités contemporaines. Le ministre Adama SAMASSEKOU aura été de tous les combats et a servi son pays jusqu’à son dernier souffle » a indiqué le comité de pilotage du dialogue inter-Maliens et de souligner que sa présence au Comité de Pilotage, malgré le poids de son âge, est la preuve éloquente de son engagement constant pour le Mali.
Nouvellement créée pour la cause de la paix, le comité de pilotage du Dialogue inter-Maliens se dit, par ailleurs, convaincue que l’immensité de l’héritage intellectuel laissé par l’illustre disparu saura servir les générations futures.
Une occasion pour le Président et l’ensemble des membres du Comité de Pilotage du Dialogue Inter-maliens pour la Paix et la Réconciliation nationale d’exprimer leur compassion et leurs condoléances les plus attristées à la famille, aux proches, aux collaborateurs et amis de l’illustre disparu.
Issa Djiguiba
Source : LE PAYS