POINT DE VUE

Les témoignages sur le cadre du 1000e numéro du quotidien «Le Pays»

Dans le cadre du 1000e numéro du quotidien « Le Pays », des acteurs politiques, des responsables des associations faitières de la presse, des membres fondateurs, anciens membres et collaborateurs et fidèles lecteurs du « Le Pays » ont livré leur témoignage sur ce jeune quotidien.

Lisez les différents témoignages !

Moussa Mara, ancien Premier ministre : « J’ai apprécié l’esprit d’indépendance du journal et sa capacité à traiter des sujets quelques fois compliqués »

 « Je trouve que le journal Le pays a fait du chemin avec les 1000 parutions

D’abord je félicite les initiateurs du journal et ceux qui l’animent au quotidien

Je vous encourage à poursuivre le chemin et je vous souhaite le meilleur dans cette perspective. J’ai apprécié l’esprit d’indépendance du journal et sa capacité à traiter des sujets quelques fois compliqués. Je vous encourage à faire preuve de plus d’indépendance et de plus de professionnalisme encore dans les jours à venir ; le pays en a besoin en ces moments compliqués. Bon vent au journal Le pays »

Jeamille Bittar, président de MC-ATT : « Le Pays est un journal sérieux… »

« Le Pays est un journal sérieux avec des analyses souvent pertinentes. Toutes mes félicitations et encouragements au promoteur et à toute l’équipe de rédaction

Vivement le numéro 2000 »

Bandiougou Danté, président de la Maison de la Presse : « Ce journal se caractéristique par une impartialité extraordinaire »

« Bonjour, Honneur est pour moi de me prononcer sur le journal « Le Pays ». Sur « Le Pays », je peux me prononcer puisque je l’ai suivi depuis de longues années. Ce journal se caractéristique par une impartialité extraordinaire. Ce journal favorise les expressions plurielles et assume ses prises de position. Il est également caractérisé par un « français » limpide, clair et bien structuré. En réalité, l’on peut être souvent surpris entre le professionnalisme affiché du journal et l’activisme de son Dirpub. Le journal « Le Pays » est un des meilleurs journaux du pays par sa diversité et la pertinence de ses analyses.

Cependant le journal doit mieux faire en matière de présentation, de la qualité du papier et doit se tourner résolument vers le numérique. Le journal doit aller à la conquête des lecteurs de l’intérieur du pays.

Enfin, c’est l’un des journaux les plus respectueux de l’éthique et de la déontologie de la profession.  Il s’engage volontiers à couvrir toutes les activités de la Presse. Ce qui est une grandeur d’esprit. Nous vous encourageons à poursuivre l’aventure pour la Démocratie la Liberté ».

Bassidiki Touré, Directeur de publication du « Le Guido » et Président de l’ASSEP : « Le quotidien Le pays occupe une place de choix dans le monde des grands médias »

« Dans chaque grande rédaction, le 1000e numéro se fête. Il dénote de la régularité et du sérieux du journal. Pour tous les grands observateurs de la presse, le quotidien Le pays occupe une place de choix dans le monde des grands médias.  Cette ascension fulgurante n’a pas été une surprise vue l’engagement du personnel du quotidien Le Pays à garantir la continuité de l’information générale et s’imposer à travers un style journalistique qui lui est propre, avec des articles poignants dénonçant les mauvaises pratiques du pays. Le Pays s’est également imposé à travers sa ligne éditoriale. Chaque parution est accompagnée d’un bon édito évoquant sa ligne de force. 1000e numéro, c’est aussi le résultat du travail d’un personnel dévoué, engagé et totalement acquis à la cause du journal. C’est pourquoi, si je dois donner un conseil ici, c’est de travailler au maintien du personnel, en bénissant tout nomadisme des journalistes et le personnel d’appui. Cela ne serait possible que si le fondateur Directeur de publication ne se met pas dans la peau d’un bon manager, d’un bon entrepreneur qui ne confond pas les ressources de l’entreprise de presse à sa poche. Beaucoup de rédaction ont fermé, non parce que parce qu’ils ne bénéficiaient pas de contrats, c’est parce qu’ils n’ont pas su gérer les ressources de l’organe. Donc les responsables du Le Pays en première ligne son fondateur Boubacar Yalkoué doivent tout faire pour tenir le flambeau tout haut

En nous envoyant aux 1000e numéros. Bon vent à toute l’équipe et je souhaite le meilleur au quotidien Le Pays »

Modibo Fofa, président de l’Appel Mali : « Malgré des menaces et des intimidations, le journal n’a pas modifié sa ligne »

« Le Pays est l’un des jeunes quotidiens de la presse écrite qui s’est frayé un chemin par la force de ses critiques et dénonciations. Malgré des menaces et des intimidations, le journal n’a pas modifié sa ligne. Sa régularité dans les kiosques tous les jours dénote la rigueur et l’ambition de cette jeune équipe sous la houlette de Boubacar Yalkoué. Déjà le journal fait partie des quotidiens imposés et crédibles dans l’opinion malienne. Le pays est désormais un bimedia avec sa version en ligne mise à jour quotidiennement. Bravo à l’équipe du pays notamment Boubacar Yalkoué et son rédacteur en chef Boureima Guindo. Bon vent à notre journal »

Dramane Aliou Koné, Ancien président de la Maison de la presse et patron du groupe Renouveau : « Millième numéro a une triple signification »

« Millième numéro a une triple signification. Primo, il traduit la régularité de la publication. Secundo, c’est le fruit d’un travail acharné et de qualité. Tertio, l’expression de la confiance des lecteurs qui permet à un journal de se pérenniser. En un mot, bravo à la jeune équipe du Pays qui est en train de relever le défi d’un quotidien, un véritable exploit qui nous impose respect et admiration. Bon vent »

Albadia Dicko, Directeur de Kaloum Info et Président de l’UNAJEP : « Aujourd’hui, c’est une fierté de lire et de vivre le 1000eme N° de notre journal ‘’le Pays’’ »

« Le journal « LE PAYS » qui a fait son 1er N le 1er juillet 2013 en tant qu’hebdomadaire a contribué efficacement dans le domaine de l’information et la sensibilisation dans notre pays. Le jeune Boubacar Yalkoué, fondateur et Directeur de publication, a, avec abnégation, conduit ce journal à l’épanouissement souhaité dans notre secteur. De l’hebdomadaire à la bihebdomadaire pour arriver au quotidien dans le professionnalisme, je ne peux que me réjouir de cet exploit d’un jeune de notre génération. Aujourd’hui, c’est une fierté de lire et de vivre le 1000eme N° de notre journal « le Pays ».

À mon frère et ami Yalkoué et toute s rédaction, je leur dis qu’ils n’ont plus droit à la pause ou au recule. C’est un lourd fardeau d’être au sommet surtout avec la crise que traverse le pays mais, le défi reste à portée de main. Bon vent au  » le pays » et vivement le 2000ème. »

Bokar Sangaré, initiateur du nom du journal Le Pays et premier Rédacteur en Chef : «Le chemin pour y arriver a été parsemé d’embûches »

« Lorsque nous lancions Le Pays en 2013, c’était d’abord et avant tout pour vivre ce que Malika Mokeddem appelle un «rêve de papier et d’encres». Nous étions très jeunes, motivés et décidés à donner le meilleur de nous-mêmes pour proposer un journalisme qui sort de la faillite des sentiers battus. Pour nous, un hebdomadaire, qui paraissait lundi, avait tout le temps nécessaire pour proposer de l’actualité des analyses qui puissent aider le lecteur à aller au-delà du traitement froid offert par les quotidiens et sites d’informations qui n’avaient pas encore poussé comme un champignon. Et nous avions les plumes pour mener à bien cette mission, comme celle de Siriki Zana Koné, alors fraîchement diplômé en droit.

Mais, disons-le aussi, nous nous sommes lancés dans ce projet après avoir été déçus par les traitements subis des directeurs de publication dans les journaux pour lesquels nous avons travaillé. Moi comme Rédacteur en chef et Boubacar Yalkoué comme Directeur. Dans l’équipe, il y avait aussi Bally Salif Sissoko, Aliou Agmour Touré. Aujourd’hui, Le Pays est un quotidien. Le chemin pour y arriver a été parsemé d’embûches. Il fut un temps où nous ne voyions même pas la queue du diable à plus forte raison la tirer. Cela n’a en rien changé le ton, impertinent quand c’était nécessaire, des analyses qu’on proposait à nos lecteurs. En tant que premier Rédacteur en chef de ce journal, je souhaite bonne continuation à la jeune équipe qui fait tourner la machine, toujours sous la direction de Boubacar Yalkoué qui est sans doute le plus brave d’entre nous »

BALLY SALIF SISSOKO, MEMBRE FONDATEUR DU JOURNAL ‘’LE PAYS’’ : « Notre bébé a 8ans »

« Le journal ‘’Le Pays’’ a été fondé, il y a 8 ans. Cet âge coïncide avec son millième numéro. Le temps passe vite.

De sa fondation à nos jours, le journal a parcouru un long chemin pour en  arriver là. Au début, c’est dans une aventure que nous avons voulu nous lancer. Avec la grâce d’Allah, nous avons pu imposer notre bébé commun qui est né avec ses 32 dents. Aujourd’hui, « Le Pays » figure parmi les journaux qui ont le plus d’audience. Il a tenu à faire sa place au soleil. Sans concession et sans complaisance, « Le Pays » traquait tous les lundis et jeudis l’actualité en pointant les tares et les manquements des femmes et des hommes chargés de l’animer. Malgré le temps et les changements, le canard reste fidèle à sa ligne éditoriale même si la concurrence est forte.  « Le Pays » a droit de citer parmi pas moins d’une centaine de titres sur le marché.

Avec la mutation et pour être plus prompt à vous informer, il est devenu un quotidien d’informations générales, d’analyses et d’enquêtes, chose qui n’est pas facile. Il est un journal constant, sérieux, régulier, respecté et respectable, bref professionnel. « Le Pays » mérite respect et considération. Son contenu est riche, varié et constructif. Je rends un hommage particulier aux aimables lecteurs pour leur constance et leur fidélité. J’adresse une mention spéciale à M. Boubacar YALKOUE, son Directeur de publication.

Bon vent et longue vie au journal ‘’ Le Pays’’.

Joyeux anniversaire pour la 8ème bougie de votre journal préféré »

Hamidou Ngatté, ancien Rédacteur en chef du « Le Pays » : « De 2013 son année de création au 1000e numéro le journal le pays, notre journal aura fait du chemin »

« De 2013 son année de création au 1000e numéro le journal le pays, notre journal aura fait du chemin. Des débuts difficiles avec une jeune équipe dont la moyenne d’âge était de 26 ans, la jeune rédaction a su se maintenir.

Hebdomadaire pendant les premières années, ensuite bihebdomadaire et voilà aujourd’hui quotidien en l’espace de quelques années. Incontournable parmi les parutions maliennes, car malgré la jeunesse de son équipe, le travail et l’amour du journalisme n’ont jamais laissé de place au doute. Aujourd’hui, le journal fait sa 1000e parution et ce n’est que le fruit d’un labeur soutenu, un travail sans relâche.

Parmi les jeunes rédactions, le pays était à ses débuts, une sentinelle et de nos jours. Il reste encore un gardien pour lutter contre la mauvaise gouvernance. Pour cette position, il a été taxé de journal d’opposition, parce que tout simplement les jeunes qui animaient les colonnes ne suivaient pas le sens du vent pour des intérêts autres que celui du respect des règles en matière de journalisme.

Si la 1000e parution est atteinte, soyez sûrs que c’est au bout d’un grand effort et cela va s’accentuer et continuer j’en suis sûr.

Nous encourageons l’équipe actuelle et poursuivre le travail d’éveil de conscience qui a été là, de continuer à pénétrer le stylo dans la partie qui fait le plus mal pour combler le besoin d’informations des populations.

Bon courage et bonne suite »

ALIOU TOURE, DIRPUB DU ‘’ LE DEMOCRATE MALI, collaborateur du journal : « ‘’Le Pays’’, c’est l’audace d’une génération… »

« Mon jugement par rapport au journal « le Pays » est plein de signification, puisque je suis l’un des membres fondateurs de ce canard dont Boubacar Yalkoué en est le principal initiateur. Très courageux et très audacieux, Yalkoué a su transcender les énormes difficultés et hisser haut le canard. On a commencé hebdo mais aujourd’hui le journal est devenu quotidien. C’est d’ailleurs ‘’ Le Pays’ qui a enfanté ‘’ Le Démocrate Mali’’. Franchement 1000 numéros, le ‘’Pays’’ est tout simplement l’audace d’une génération. Ah oui, l’audace d’une jeune génération, puisque depuis sa création jusqu’à nos jours, le journal est géré et animé par uniquement des jeunes professionnels et amoureux du métier.

Ce qui fait du journal ‘’ Le Pays’’ l’un des meilleurs quotidiens de la place. C’est un bon journal, puisqu’il y a une clairvoyance dans le jalonnement des idées et une objectivité dans les analyses. Honnêtement, après avoir lu ‘’Le Pays’’ par rapport à un problème donné, on est immédiatement édifié. Le Pays est un palliatif au devoir du secteur journalistique. Et, on voit que le Journal est désintéressé par les clivages politiques. Ce qui est sa force. Puisque, c’est le distinguo net entre les informations et les clivages politiques. Très régulier dans les kiosques, ‘’ Le Pays’’ est un journal très sérieux. La rédaction du journal fait un travail remarquable et professionnel.  ‘’ Le Pays’’ est une référence. Car, la qualité et le contenu du journal sont sans commentaires. Et, c’est tout une joie et une fierté pour moi que ‘’Le Pays’’ soit dans le concert des journaux de la place aujourd’hui. ‘’Le Pays’’ est parmi les journaux qui ont respecté et honoré leur ligne éditoriale. Nous sommes tout à fait satisfaits de la qualité du journal et la clientèle ne fait que, chaque fois, réclamer le journal qui s’est imposé par le travail bien fait. Ce qui est un objectif déjà atteint. Nous souhaitons beaucoup de courage et de chance à la Rédaction du journal, surtout dans ce concert pluriel du monde de la presse malienne et   bonne continuation… »

Abdrahamane SISSOKO, directeur de Publication du journal Le Wagadu et Ancien journaliste du journal Le Pays : « Le journal « Le Pays » m’a mis le pied à l’étrier »

« 1000e numéro du journal Le Pays ! Que de chemin parcouru ! En effet, je fais partie des journalistes qui ont participé à toute l’évolution du journal. D’abord hebdomadaire paraissant tous les lundis, ensuite bihebdomadaire (paraissant les lundis et les jeudis) et enfin quotidien.

En si peu de temps, le journal Le Pays s’impose comme l’un des journaux de référence du Mali. Rarement un journal a connu une telle évolution dans notre pays. Pourtant, très peu de personnes croyaient en l’avenir du journal. Son style, la pertinence de l’information traitée, son indépendance, l’engagement et l’abnégation de ses journalistes continuent de forcer l’admiration de plus d’un.

Ardent défenseur de la liberté et un rempart contre les dérives de toutes sortes, le journal Le Pays a été l’un des journaux les plus critiques du régime IBK, dénonçant la corruption, la concussion et la fraude. Ce qui lui a valu de la répression (coupure des contrats et de ses abonnements) et des inimitiés. Ce qui n’a pas entamé sa détermination. Bien au contraire !

Le 1000e numéro du journal Le Pays est une occasion pour moi de témoigner toute ma reconnaissance à son Directeur de Publication du journal, mon cadet Boubacar Yalkoué,  qui, à  un moment donné de ma vie, a eu confiance en moi. Je dois avouer ici que c’est le journal Le Pays qui m’a mis le pied à l’étrier en me donnant les outilles nécessaires pour la connaissance de la profession. C’est grâce au journal Le pays que j’ai participé à la 3e promotion de l’ESJ-Lille en alternance à Bamako.

Mes rapports avec le journal sont restés les plus cordiaux même après mon départ en 2018. C’est pourquoi même loin je donne toujours mon avis sur la marche du canard. Un avis qui est toujours accepté.  Le Pays reste pour moi une école pour l’éternité.

Longue vie au journal Le Pays pour que vive la presse au Mali !

Vivement le 2000e numéro ! »

Fousseni Togola : « L’atout du journal Le Pays a toujours été son ouverture »

« L’atout du journal Le Pays a toujours été son ouverture. Quand j’arrivais dans cet organe en 2017, sans aucune formation journalistique, le directeur de publication, Boubacar Yalkoué n’a pas hésité à m’accueillir les bras ouverts et à me confier des postes de responsabilité. Avec cette jeune équipe que le journal a toujours mise en avant, je me suis vite en sorti. J’ai vite appris grâce à l’effort de cette équipe soudée, dévouée entièrement pour le succès de cet organe malgré les ressources limitées à leur disposition. « L’avenir est ouvert » pour Le Pays »

Issa Djiguiba journaliste, membre de la Rédaction du journal : « Le Pays a fait de moi un journaliste, pas n’importe lequel »

« Personnellement, je ne peux pas faire trop de comparaison entre le journal « Le Pays » et les autres journaux de la place. Je ne connais que « Le Pays », puisque j’y suis resté depuis que j’ai terminé mon stage de formation entre 2016 à 2017. Il était Bihebdomadaire à l’époque.

Aujourd’hui, je suis le plus ancien des journalistes qui travaillent au compte du quotidien « Le Pays ». Bien qu’il ait encore des contributeurs qui ont vu naitre cet organe de presse, moi je suis de ceux qui continuent à travailler de façon permanente depuis 2016. 

Durant cette période de 5 à 6 ans, le journal « Le pays » a connu beaucoup d’améliorations tant sur le plan structurel que fonctionnel.  Tout en passant du Bihebdomadaire au quotidien qui est l’amélioration du service, « Le Pays » a aussi fait beaucoup de déménagements de siège. Cette fois-ci dans le souci d’améliorer le cadre de travail du personnel.  

Et c’est cette volonté permanente de chercher de meilleurs des conditions de travail qui m’a d’ailleurs maintenu ici, puisque je me dis que c’est une véritable entreprise d’avenir dans le domaine de la presse au Mali. Déjà « Le pays » tend vers un groupe de presse avec beaucoup d’autres organes de communication ».

Même si les conditions de vie du personnel demandent autant, il faut reconnaitre que cet organe a su se démarquer de beaucoup d’entreprise de presse malienne de par ses gestes d’encouragement et social à l’endroit de l’ensemble du personnel.

Il a aussi offert des formations académiques et de renforcement des capacités à la majorité de ses journalistes y compris ceux qui ne sont plus dans la boite.

Et c’est grâce à ces formations d’ailleurs que moi, je suis aujourd’hui un journaliste et pas n’importe lequel. En plus d’être reconnu par le ministère de la communication, cette formation que j’ai reçu au journal « Le Pays » ma la confiance d’être aujourd’hui le premier responsable d’un site web d’information et de communication et également pigiste dans bon nombre de  Magazines  de renommés.

Donc pour conclure, je ne dois ma carte de presse qu’au journal ‘’Le Pays ‘’».

Mamadou Diarra, membre de la rédaction : « Le journalisme : c’est l’audace et pas plus »

« Le millième numéro du journal est un jour spécial pour nous. Un moment de joie et de partage de nos parcours avec nos lecteurs. À titre de présentation, je dirais que je me nomme Diarra Mamadou, journaliste reporter employé au compte du journal le ‘’Pays’’ depuis trois (3) ans. Sortant de l’Université des Sciences juridiques et politiques de Bamako(F.S.J.P), je suis détenteur de maitrise en droit public interne(FDPU). Avec ce diplôme universitaire, j’ai commencé mon stage au sein de cet organe début 2018. Par-là, il faudra rappeler que le journal n’était pas encore devenu un quotidien, au moment où je venais d’entamer ma période de stage. Ignorant toute nation de journalisme à l’époque, je vous avoue que j’ai pu réussir à rédiger des articles au bout d’un an. Cela a été possible grâce à l’appui de mes collaborateurs qui ont été d’un apport capital pour mon ascension. C’est pour cette raison que du statut stagiaire, j’ai été, en 2019, non seulement promu reporter titulaire au compte de l’organe, mais aussi retenu comme personnel  du journal par le directeur, en l’occurrence M. Boubacar Yalkoué. A compter de l’année où j’ai commencé ce stage (février 2018), passant par l’année (janvier 2019) où j’ai été titularisé et employé au compte du journal jusqu’à cette année 2021, je n’ai acquis que des expériences à travers l’autoformation et ma participation à de nombreux ateliers de formation. Aujourd’hui, je suis le responsable chargé de traiter des informations relatives au secteur de l’éducation, les faits divers et  tout sujet qui est rapport avec la justice.

Par le passé, autrement dit en 2019, j’étais le chargé de traiter les inters, c’est-à-dire des actualités internationales. En 2020, des questions religieuses au sein de l’organe m’ont été confiées. Ce qui fait que je traitais  des informations portant sur la religion. Sur le volet justice, j’ai couvert des sujets brûlants du pays que je ne saurais oublier. Il s’agit, pour moi personnellement, des évènements importants qui méritent d’être évoqués en ce jour spécial. Grosso modo, je veux parler du « fameux » procès d’Amadou Aya Sanogo et coaccusés, le procès ayant opposé le journaliste Mamadou Sacko dit ‘’Saxe’’ à Karim Keita, fils de l’ex-président IBK, le procès  Mamadou Sinsy Coulibaly  du patronat malien contre le camp Amadou dit Diadié Sangaré. Sans oublier l’affaire  dite de « tentative de déstabilisation du pouvoir » ayant concerné l’ex-premier ministre Boubou Cissé, Ras Bath et coaccusés. Nous y étions au tribunal de la commune V de Bamako, lorsque notre organe répondait à la convocation de Manassa Danioko, ex-président de la cour constitutionnelle du Mali.

Bref, je dirais plutôt que de chemins ont été parcourus durant ce laps de temps. Des défis relevés en termes d’écriture et de style journalistique, et des expériences acquises en termes de culture générale. Toute chose qui m’amène à dire qu’être bon journaliste ne veut pas forcément dire qu’il faut passer par l’école du journalisme. Tout dépend de l’abnégation ou du degré d’engagement de chacun »

Ousmane DAO, Directeur de publication Midi-Info : « En quelques années de présence sur la scène…, le quotidien « Le Pays » est, sans conteste, un exemple pour plusieurs… »

« Je remercie M. Boubacar Yalkoué, Directeur de publication du « Le Pays » et toute son équipe brillante pour m’avoir donné l’opportunité de me prononcer sur le millième numéro du « Le Pays ». C’est donc l’occasion d’apprécier le travail de ce quotidien qui contribue de manière remarquable à la qualité du paysage médiatique malien. Le pays a été jusqu’aujourd’hui au cœur des actualités majeures de la nation malienne. Il s’agit là d’un cap positif qu’il faudra garder voire améliorer. Une chose est sûre : en quelques années de présence sur la scène…, le quotidien « Le Pays » est sans conteste un exemple pour plusieurs…

Encore une fois merci et bonne continuation pour une presse professionnelle au Mali »

Moustapha Diawara : Directeur de publication du ‘’Le Sursaut’’ : « Le Pays est une référence dans le paysage médiatique malien »

« C’est un grand honneur pour moi de donner mon avis sur l’évolution du quotidien ‘’Le Pays’’ à l’occasion de sa 1000ème livraison. D’abord je tiens à témoigner que j’ai été un témoin oculaire du lancement de ce journal. Son fondateur, Boubacar Yalkoué est quelqu’un qui m’a toujours voué du respect. Pour cela, il me consulte dans tout ce qu’il veut entreprendre.

Ensuite, je ne peux garder le silence sur la percée fulgurante du ‘’Le Pays’’ en quelques années. A part son promoteur, personne ne croyait que ce journal en format quotidien pouvait tenir jusqu’à ce niveau. Ce, pour la simple raison que tous les 8 autres quotidiens privés de la place sont soutenus, soit par un lobby politique, un groupe de presse fort ou d’un bailleur-actionnaire. A l’exception du ‘’Le Pays’’, ils ont tous un chiffre d’affaires annuel de dizaines de millions. ‘’Le Pays’’ a atteint ce niveau, grâce seulement à la détermination de son promoteur, son courage de foncer et son amour inaltéré pour le journalisme, plutôt l’émergence d’une nouvelle forme de journalisme professionnel dans notre pays.

Enfin, après 1000 parutions, la Rédaction du quotidien ‘’Le Pays’’ doit légitimement exprimer sa fierté, pour avoir tenu la dragée haute en termes de régularité, de la qualité rédactionnelle des articles mais surtout de la probité morale qui caractérise sa ligne éditoriale. Par ce que ‘’Le Pays’’ est une référence, nous devons tous formuler le vœu de sa pérennité sur le paysage médiatique malien afin qu’il serve davantage d’exemple pour faire démentir à ceux qui jettent de l’opprobre sur la presse malienne dans sa généralité. Bon vent à toute la Rédaction du ‘’Le Pays’’, notamment à son Directeur de publication, Boubacar Yalcouyé, que j’ai eu le privilège d’encadrer au sein du journal ‘’ALBATROS’’avant de collaborer avec lui au sein de la rédaction du ‘’Canard Déchainé, et dans le bureau de l’ASSEP »

Seyni T Kassambara, directeur de publication du « Le Toguna » et collaborateur du « Le Pays »

« Je félicite tout d’abord l’équipe de ‘’le PAYS‘’ et tous ceux qui ont fait leur chemin de carrière professionnelle pour le travail remarquable qu’ils mènent dans le parcours dudit journal.

J’ai connu ‘’Le Pays » de sa création à ce jour, J’admire son talent et sa soif d’améliorer en prenant en compte des critiques et suggestions des lecteurs tout en respectant l’éthique et la déontologie du métier d’informateur. Nous avons vu ‘’ Le Pays’’ en Hebdo puis bihebdo, aujourd’hui, il est quotidien. Il s’est fait de la place parmi les autres qui ont existé de dix à vingtaine d’années. Le 1000ème numéro, c’est quelque chose de symbolique, qui veut dire que le journal est allé loin. Nous espérons le voir encore plus loin.

Dans le contexte malien et tout celui qui connaît le paysage médiatique, tenir un journal, c’est déjà un sacerdoce, un grand sacrifice et un don du soi.

Je vous souhaite plein succès, bonne santé et beaucoup de compétence encore au service du journal et au service de lecteurs maliens.

Bonne célébration professionnelle »

Tiémoko Koné, Huissier de Justice : « Le Pays est notre journal de cœur… »

« De sa création dénommée dans les années 2013, le journal « Le Pays » s’est vite implanté dans le monde médiatique malien. Il a commencé hebdomadaire, puis bihebdomadaire et aujourd’hui quotidien. Cela montre la persévérance et le degré d’amour que les agents dudit journal au travail bien fait. Le Pays est notre journal de cœur et nous ne pouvons que lui souhaiter bon vent pour l’avenir. Merci »

YACOUBA MOUSSA SOGODOGO, lecteur : « Le journal « le pays » est devenu un rempart de civisme…»   

« La construction d’un état de droit réel est la clé du développement harmonieux d’une nation. La promotion de valeur telle l’honnêteté, la citoyenneté, la bonne gouvernance, la vérité, le civisme, le sérieux dans le travail, le courage et bien d’autres ont disparu de notre quotidien. L’esprit citoyen sensé être le bâton de pèlerin, gage de démocratie est devenu un fardeau trop lourd à porter pour le commun des mortels que nous sommes en république du Mali. C’est suite à cet état de fait qu’a vu le jour le journal comme son nom l’indique “le Pays“ avec une vision simpliste et claire qui ne souffre d’aucun complexe pour la renaissance des valeurs perdues citées ci-haut. Il est compliqué et très difficile, au Mali pour un quotidien de voir le jour et de survivre sans parrainage. La plupart des journaux sous parrainage sont dans l’obligation de respecter, à la lettre, le dictat des parrains, ce qui, de facto, détermine la ligne et la philosophie du quotidien.  Le paradoxe est que la quasi-totalité des parrains des journaux sont, soit des hommes politiques sans honneurs(ceux avec honneurs se font rare de nos jours au Mali disons-le), soit des hommes d’affaires avec des tendances politiques qui change du jour au lendemain en fonction de leurs intérêts ou de la position du cheval sur lequel ils ont misé dans l’optique de la course au fauteuil présidentiel sans tenir compte de l’avenir du pays et de ceux, démunies et marginalisés qui y vivent alors qu’ils sont ceux-là même sans lesquels une élection ne peut se tenir “la population“  la vraie. Le journal  « le pays », crée en 2013 suite à une vision et une réflexion approfondie et réfléchie de Boubacar Yalkoué eu égard à la situation socio-politique et économique du pays, bref au système archaïque et machiavélique qui domine la vie politique dans lequel le citoyen est pris en sandwich, est devenu un rempart de civisme et d’information vraie sur lequel il faut compter pour dénoncer le cortège de mal qui gangrène l’esprit malien.    Il va s’en dire que cette posture civique et citoyenne sans parti pris ni parrainage aucune de dénoncer les maux qui minent la vie politique et sociale du pays empêchant de facto son développement et son épanouissement dans le concert des nations n’est pas sans conséquence. La ligne éditoriale du journal ne fait pas l’affaire des gouvernements et des régimes qui se suivent au bénéfice de la population faible bien sûr mais qui désormais est bien informé et qui peut se faire une opinion claire de la situation du pays en temps réel. Beaucoup de tentatives de corruptions veines ont été enregistrés juste pour que le journal change de ligne éditoriale sans donné le résultat escompté par les commanditaires. Alors, les tentatives de corruptions ont laissé la place aux menaces anonymes et aux menaces ouvertes (déclarées) avec une technique imparable à savoir celle d’asphyxiée le journal en lui coupant les petits contrats publicitaires obtenus dans la sueur et qui servaient à financer l’impression du journal. Malgré toutes ces pressions, la philosophie du journal, la ligne éditoriale n’ont jamais dévié et à continuer à maintenir le cap avec un budget de fonctionnement qui n’existait presque plus et un personnel bénévole capable, à la tache au quotidien. Ceci est un témoignage de reconnaissance des faits et d’encouragement et d’incitation à aller encore plus loin dans la recherche de l’information vraie pour sortir le citoyen de la bulle négative de désinformation et d’intox dans laquelle il se trouve car un citoyen bien informé contribue à coup sûr aux changements de mentalités positives d’abord en son propre sein et dans son entourage pour un mali qui avance dans la bonne direction »

Badou Sidi Koba, Directeur de publication du « Le Triomphe du Mali » : « bihebdomadaire puis quotidien aujourd’hui »

Si le journal « Le Pays » n’avait pas existé, il fallait le créer. Aujourd’hui, ce journal fait la fierté des jeunes de la presse malienne. Il a été créé en 2013 en tant qu’hebdomadaire. Sous peu, il est passé bihebdomadaire puis quotidien aujourd’hui. Le journal est dirigé par une jeune équipe dynamique. Le journal se soucie de l’éthique et de la déontologie. C’est le lieu de remercier le Directeur de Publication, Boubacar Yalkoué et le Rédacteur en chef Boureima Guindo. Ces deux jeunes se sont donnés à fond pour que le journal tienne. Le journal donne des informations crédibles, inodores, sans saveur. Tous les lecteurs sont unanimes que Le Pays est un journal sérieux, crédible et rigoureux. Des grands médias comme RFI s’intéressent souvent au journal « Le Pays ». RFI sait que le Pays est un journal composé de journalistes professionnels. C’est pourquoi il s’intéresse à ce canal. Je pense très sincèrement que les autres jeunes journalistes doivent s’inspirer du journal le Pays qui est devenu une référence.

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