Proxénétisme, pédophilie, homosexualité, atteinte à l’intégrité des enfants, viol et incitation à la débauche : Un réseau défenestré par Le 3ème Arrondissement !
Le Samedi 24 janvier, le commissariat de police du 3ème Arrondissement a cueilli dans leur nid des gros ‘’poissons’’, tous dangereux. Il s’agit d’un réseau de gays. Pas seulement, car, ils sont accusés de proxénétisme, de pédophilies homosexuelles, de corruption de la jeunesse, de viol et d’incitation à la débauche.
En effet, cette opération a été possible grâce au Soit transmis N°0204/PR-CII du 24 Janvier 2020 émanant du Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de la Commune II du District de Bamako. C’était relatif à la plainte formulée par une frange importante et écœurée des populations de la Commune II contre Souleymane COULIBALY (un membre dudit réseau) et autres pour pédophilie, proxénétisme, viol et complicité de viol.
Tout travail cessant, les éléments de la Brigade de Recherches du 3ème Arrondissement ont procédé à des investigations intempestives à travers les quartiers du District de Bamako. C’est ainsi que suite à des informations faisant état que les personnes recherchées prétendent organiser l’anniversaire de l’un des leurs dans le Restaurant « Cochy’s Café » sis à l’Hippodrome. De ce fait, une descente policière effectuée dans ce restaurant a permis d’appréhender ces homosexuels.
Ils sont au nombre de 15 personnes se nommant : Hady DIALLO, Mohamed Igor TOUNKARA, Mohamed DIARRA, Guimba CAMARA, Hamidou TRAORE, Cheick Oumar SALL, Ibrahim CISSE, Siriman DIARRA, Amadou CISSE, Gaoussou DOUMBIA, Abdoulaye SANGARE, Barou BAH, Abdramane TRAORE, Gaoussou TRAORE et Souleymane COULIBALY dit « SOLO », tous domiciliés en CII.
Selon notre source, ces jeunes interpellés ne se connaissaient pas auparavant. Elles se sont rencontrées en majeure partie dans des structures de santé et sur certains lieux publics lors des cérémonies et autres événements.
Dans leurs déclarations, ils ont cité les Cliniques SOUTRA en Commune III du District de Bamako, Hall-CAD en Commune VI, AMPRODUIT et KASSI en Commune V où des médecins chevronnés comme Docteurs Aly des Cliniques Hall-CAD, KAREMBE et Fadiala de SOUTRA et MAIGA d’AMPRODUIT, font des animations sur la sexualité, la « bonne conduite » des homosexuels, l’usage de préservatif et du gel intime et cela, avec la participation active des mineurs élèves. Sacrilège !!!!
D’ailleurs, après chaque animation, les participants tissent de nouvelles relations pour former en réalité, une association de fait. Les animateurs offrent à chacun d’eux, des produits pharmaceutiques qui selon certains plaignants, féminisent les hommes. En plus de ces actes écœurants, ils reçoivent également une somme de 5 000FCFA par personne.
Toujours d’après notre source au niveau du commissariat de police du 3ème Arrondissement, au-delà de ces structures, les accusés se sont tellement organisés dans leur forfait qu’ils ont pris l’habitude de se rencontrer quotidiennement et nuitamment à Médina Coura sur le terrain de foot en face du Restaurant « Le NID ». Ce n’est pas, ils se rassemblaient aussi aux abords du fleuve Niger, vers Missabougou et à Sotuba-ACI, où ils disposaient des appartements meublés, dans lesquels ils commettaient des rapports sexuels.
Egalement, il arrive souvent que ces individus étant à Médina Coura se transportent au domicile de leurs partenaires pour les mêmes fins.
Leur mode opératoire consiste pour certains à chercher des « clients de sexe » pour des partenaires et cela pour augmenter le nombre d’adeptes. Pour d’autres, la mission se résumait à organiser des sessions de formation, d’enrôlement et de l’octroi des médicaments aux membres sans tenir compte de leur âge (mineur).
Un réseau bien huilé dans les interdits
Au compte de ce réseau, le principal cerveau est bien le nommé Cheick Oumar SALL. Qui a d’ailleurs reconnu avoir mis en contact plusieurs homosexuels, y compris des mineurs. C’est ainsi qu’à Médina Coura en face du Restaurant ‘’le NID’’, il a noué et mis en relation Cheick AW, Yacouba NIARE et Moussa COULIBALY, tous des mineurs avec Souleymane COULIBALY et Gaoussou TRAORE, tous, des majeurs. Ces derniers après avoir donné le rendez-vous à ces mineurs à plusieurs reprises chez eux, les font introduire dans leur chambre où ils allument la télévision et augmentent le volume pour contenir les cris de douleur des enfants. Qu’ils abusent de force pour faire des relations sexuelles et cela, sans se protéger avec des préservatifs. Et c’est de la même manière que Cheick Oumar SALL a mis en contact Moussa COULIBALY et Hady DIALLO qui reconnaissent avoir eu des rapports sexuels.
Quant au nommé Mohamed DIARRA, il avait organisé la soirée (au cours de laquelle ils ont été chopés) dans le but de créer une opportunité de rencontres et de prises de contact entre les différents membres du club, sans tenir compte de l’âge des invités. Quelle déchéance !
Pour ce qui est des structures sanitaires incriminées, à savoir les Cliniques SOUTRA, Hall-CAD, AMPRODUIT et KASSI, elles ont fermé leurs portes depuis l’annonce du démantèlement de ce réseau. C’est mal connaître la patience et l’intransigeance du chef BR du 3ème Arrondissement, le Capitaine Youssouf Coulibaly, face à de telles dépravations de nos mœurs. C’est pourquoi il donné l’assurance que l’enquête continue jusqu’à ce que ces soi-disant médecins soient arrêtés avec ou sans leur blouse blanche.
Cette cohorte des formateurs homosexuels est désormais à la disposition du parquet du TGI de la commune II. Espérons qu’un lobby (dont des hauts gradés ou ramifications des ONG occidentales) ne leur extirpe des mains de la justice. Donc, ce dossier mérite d’être suivi de près par l’opinion publique nationale au nom des valeurs sociétales de notre pays.
Par Mariam Sissoko
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